-
Sonko en Mauritanie
-
Communiqué du Conseil des ministres du 8 Janvier 2025
-
[Récap] Ousmane Sonko et le chef de la diplomatie tchadienne sonnent la charge contre Emmanuel Macron
-
Subvention énergie, eurobond : Diomaye Faye et Ousmane Sonko ignorent le Fmi
-
Iles canaries : quatre (4) migrants en provenance de Bassoul assassinés
L’actuel maire de Dakar, porté en fin novembre à la tête du secrétariat général de l’Association internationale des maires francophones, vient d’organiser le sommet Africités à Dakar avec 5000 participants. Un point de plus dans le positionnement international de cette icône du Parti socialiste (PS) qui va sur ses 56 printemps et dont l’ambition inavouée est de devenir le successeur de Macky Sall. Raison pour laquelle, refusant d’être ‘’grillé’’ et dans le souci de préserver sa manœuvre, afin de pouvoir critiquer le bilan de Macky Sall en 2017, Khalifa Sall, a selon l’hebdomadaire Jeune Afrique dans sa dernière parution, décliné le poste de ministère de premier plan que lui aurait proposé le président Macky Sall, en avril dernier.
Un choix justifié. Car, poursuit l’hebdomadaire, même si dans sa propre formation politique, où il se présente comme un potentiel successeur d’Ousmane Tanor Dieng, on lui «reproche son ‘’socialisme mou’’», Khalifa Sall a cependant, gagné en estime dans le camp des libéraux où son action en faveur du changement de la ville de Dakar, a été magnifié. Ainsi, on dit de lui, qu’il «compte peu d’ennemis».
Malgré tout, les deux Sall (Macky et Khalifa) affichent une entente cordiale et ont «en commun, une réserve plutôt rare sur la scène politique nationale et l’obsession du résultat». Comme qui dirait, on s’estime mutuellement, tout en gardant les mêmes ambitions
radarinfos.net