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Ils sont Syriens, Irakiens et Erythréens. Sur les 168 réfugiés en partance vers l'hexagone, 58 sont des enfants de moins de douze ans. A bord d'un vol spécial, ils devraient rejoindre la France dans la journée, et seront accueillis dans des installations des régions du Centre-Val de Loire, des Hauts-de-France et de Normandie.
La France est le plus gros contributeur au programme européen conclu il y a un peu plus d'un an pour soulager la Grèce et l'Italie. Jusqu'ici, la France a accueilli 1924 personnes, soit près de 40% des relocalisés de Grèce. Mais ce chiffre est très loin des promesses de relocalisation au niveau européen. En deux ans, l'Union européenne s'est engagée à accueillir plus de 66 000 personnes. Mais seules 5 000 ont obtenu le droit de quitter les centres grecs d'accueil pour migrants, et à peine plus de 19 000 réfugiés sont à ce stade éligibles au programme, ce qui explique en partie le retard.
Mais l'Office français de l'immigration et de l'intégration est formel : après un démarrage lent, les départs se feront désormais sur un rythme plus régulier. La France compte relocaliser 400 personnes par mois. Un autre groupe de 173 refugiés partira le 14 novembre pour la région Grand Est.
La France est le plus gros contributeur au programme européen conclu il y a un peu plus d'un an pour soulager la Grèce et l'Italie. Jusqu'ici, la France a accueilli 1924 personnes, soit près de 40% des relocalisés de Grèce. Mais ce chiffre est très loin des promesses de relocalisation au niveau européen. En deux ans, l'Union européenne s'est engagée à accueillir plus de 66 000 personnes. Mais seules 5 000 ont obtenu le droit de quitter les centres grecs d'accueil pour migrants, et à peine plus de 19 000 réfugiés sont à ce stade éligibles au programme, ce qui explique en partie le retard.
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