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Fessons connaissance, Ramsès…A 28 ans, Ramatoulaye Fall, Ramsès pour les intimes, fait partie de ces belles dames à la cambrure généreuse qui concourent pour le titre de Miss «Diongoma» 2012. Postérieur rebondi, poitrine généreuse, astuces et malices, elle ne manque pas d’arguments pour convaincre…
Au royaume des voluptueuses, la terre tremble sous ses pieds. Fière allure, courbes gourmandes, sourire éclatant, déhanché ravageur, regard corrupteur, Ramatoulaye Fall est ainsi faite, toute en chair. La finaliste de l’élection Miss Diongoma n’a rien à voir avec celles qui croulent sous le diktat caucasien, en s’encombrant de régimes minceurs ou autres cures d’amaigrissement. Dans l’intimité de sa chambre à coucher «lavée» aux senteurs exotiques et «parée» de ceintures de perles où elle accueille, la callipyge trottine sur la moquette comme une diva…
Reine du soir du premier tour de l’élection de Miss Diongoma 2012 tenu samedi à la maison de la Culture Douta Seck, Rama a su se démarquer des autres aspirantes au trône. Chacun de ses passages était ponctué par les stridulations des épicuriens, fétichistes des postérieurs rebondis. Pas facile de résister à son charme envoûtant, à sa plastique affriolante, à sa beauté sans ellipse, à sa poitrine généreuse et à ses petits pagnes ensorcelants ! Enrobée dans son grand boubou en Bazin, assorti d’un foulard noué sur la tête, la fille de la Médina étale tout son apparat et son clinquant. Ses yeux en amande soigneusement maquillés laissent ressortir son écorce ébène et sa peau délicate. Lèvres lippées d’un rouge vif, sur un visage qui respire la fraîcheur, elle vous fige sur place. Grosse chevalière à son doigt, parure dorée, piercing sous le menton, tatouage sur les mains et les pieds, Ramatoulaye voue un culte au tape-à-l’œil. C’est son style d’être éblouissante et elle l’assume, comme tout le reste. Sa cambrure sexy, son impétuosité, son caractère trempé, sa nature aguicheuse, sont perceptibles à milles lieues. Ça passe ou ça casse ! Elle n’en fait pas tout un plat. Sa philosophie est de ne jamais regarder derrière elle, encore moins de prendre en considération les commentaires désobligeants qui pavent sa démarche gracieuse. «Ceux qui pensent que ce concours est amoral ou que celles qui y participent sont des dépravées n’ont rien compris, lâche-t-elle, dans un éclat de rire. Souvent, c’est parce qu’ils n’ont pas laissé des «Diongomas» chez eux.»
Source: l'observateur
Au royaume des voluptueuses, la terre tremble sous ses pieds. Fière allure, courbes gourmandes, sourire éclatant, déhanché ravageur, regard corrupteur, Ramatoulaye Fall est ainsi faite, toute en chair. La finaliste de l’élection Miss Diongoma n’a rien à voir avec celles qui croulent sous le diktat caucasien, en s’encombrant de régimes minceurs ou autres cures d’amaigrissement. Dans l’intimité de sa chambre à coucher «lavée» aux senteurs exotiques et «parée» de ceintures de perles où elle accueille, la callipyge trottine sur la moquette comme une diva…
Reine du soir du premier tour de l’élection de Miss Diongoma 2012 tenu samedi à la maison de la Culture Douta Seck, Rama a su se démarquer des autres aspirantes au trône. Chacun de ses passages était ponctué par les stridulations des épicuriens, fétichistes des postérieurs rebondis. Pas facile de résister à son charme envoûtant, à sa plastique affriolante, à sa beauté sans ellipse, à sa poitrine généreuse et à ses petits pagnes ensorcelants ! Enrobée dans son grand boubou en Bazin, assorti d’un foulard noué sur la tête, la fille de la Médina étale tout son apparat et son clinquant. Ses yeux en amande soigneusement maquillés laissent ressortir son écorce ébène et sa peau délicate. Lèvres lippées d’un rouge vif, sur un visage qui respire la fraîcheur, elle vous fige sur place. Grosse chevalière à son doigt, parure dorée, piercing sous le menton, tatouage sur les mains et les pieds, Ramatoulaye voue un culte au tape-à-l’œil. C’est son style d’être éblouissante et elle l’assume, comme tout le reste. Sa cambrure sexy, son impétuosité, son caractère trempé, sa nature aguicheuse, sont perceptibles à milles lieues. Ça passe ou ça casse ! Elle n’en fait pas tout un plat. Sa philosophie est de ne jamais regarder derrière elle, encore moins de prendre en considération les commentaires désobligeants qui pavent sa démarche gracieuse. «Ceux qui pensent que ce concours est amoral ou que celles qui y participent sont des dépravées n’ont rien compris, lâche-t-elle, dans un éclat de rire. Souvent, c’est parce qu’ils n’ont pas laissé des «Diongomas» chez eux.»
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