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Le lieu de la célébration n’a pas encore été précisé. L’Eglise indienne a vivement insisté pour que le pontife argentin vienne à Calcutta pour cette célébration, mais plusieurs sources au Vatican ont assuré ces derniers jours qu’un telvoyage n’était pas à l’ordre du jour et que la canonisation aurait lieu à Rome.
Deux miracles
En 2003, la béatification de la religieuse indienne d’origine albanaise par le pape Jean Paul II, dont elle était très proche, avait rassemblé 300 000 fidèles autour de la place Saint-Pierre. La canonisation équivaut à une reconnaissance officielle par l’Eglise du fait qu’une personne est au paradis. Elle doit pour cela être à l’origine de deux miracles après sa mort, l’un pour sa béatification, l’autre pour sa canonisation, signes de sa proximité avec Dieu.
Née en 1910 dans une famille albanaise en Macédoine, Gonxha Agnes Bojaxhiu est entrée dans les ordres à 18 ans et a été envoyée enseigner en Inde. Elle a ensuite fondé en 1950 sa propre congrégation, les Missionnaires de la charité, qui compte aujourd’hui 4 500 religieuses consacrant leur vie de manière radicale « aux plus pauvres d’entre les pauvres ». Prix Nobel de la paix en 1979, Mère Teresa est morte en 1997 à Calcutta, où elle repose dans la maison mère de sa congrégation.
LEMONDE