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Dans un communiqué daté du 11 décembre, la principale plate-forme de l’opposition fixe au 15 décembre la date limite des négociations avec la majorité présidentielle dans le cadre de la médiation menée par l’épiscopat catholique congolais. Soit quatre jours avant la date de la fin du second et dernier mandat constitutionnel de Joseph Kabila, le 19 décembre.
Trois jours de négociations
Suspendues depuis vendredi 8 décembre à l’initiative de la Cenco « pour des impératifs de calendrier liés à [la] charge pastorale », les discussions ne devront durer que trois jours, de mardi 13 au jeudi 15 décembre, précise le texte. Selon le communiqué, l’opposant historique Étienne Tshisekedi, devra s’exprimer publiquement à l’issue de ces négociations.
Retransmission en direct des discussions
En vue de leur reprise mardi, la principale plate-forme de l’opposition, qui appelle à manifester au delà du 20 décembre si Joseph Kabila est maintenu dans ses fonctions, exige par ailleurs que les négociations soient retransmises en direct, afin que l’opinion nationale et internationale soit pleinement informée », précise le communiqué.
Une exigence qui pourrait bien constituer un point de désaccord entre l’opposition congolaise et le camp Kabila, compte tenu des déclarations du porte-parole du gouvernement Lambert Mende, cité dimanche par l’agence Belga.
« À moins qu’ils cherchent un blocage, on avait conclu vendredi après discussions qu’il n’était pas question retransmettre en direct les négociations », a ainsi souligné le responsable de la majorité présidentielle, ajoutant : « Il ne sert à rien de chercher du spectacle ».
Vendredi, des sources européennes ont fait état de sanctions – gel des avoirs, interdiction de séjour dans un pays de l’UE – à l’encontre de sept hauts responsables congolais, accusés d’entraver le processus électoral. Ces sanctions ne devraient toutefois pas entrer en application avant le 20 décembre, afin de voir si la médiation en cours peut déboucher sur une sortie de crise. Actuellement à Washington, l’autre poids lourd de l’opposition congolaise, Moïse Katumbi, a de son côté affirmé qu’il envisageait de rentrer en RD Congo si le dialogue venait à échouer et si Joseph Kabila ne quittait pas la présidence.
Trois jours de négociations
Suspendues depuis vendredi 8 décembre à l’initiative de la Cenco « pour des impératifs de calendrier liés à [la] charge pastorale », les discussions ne devront durer que trois jours, de mardi 13 au jeudi 15 décembre, précise le texte. Selon le communiqué, l’opposant historique Étienne Tshisekedi, devra s’exprimer publiquement à l’issue de ces négociations.
Retransmission en direct des discussions
En vue de leur reprise mardi, la principale plate-forme de l’opposition, qui appelle à manifester au delà du 20 décembre si Joseph Kabila est maintenu dans ses fonctions, exige par ailleurs que les négociations soient retransmises en direct, afin que l’opinion nationale et internationale soit pleinement informée », précise le communiqué.
Une exigence qui pourrait bien constituer un point de désaccord entre l’opposition congolaise et le camp Kabila, compte tenu des déclarations du porte-parole du gouvernement Lambert Mende, cité dimanche par l’agence Belga.
« À moins qu’ils cherchent un blocage, on avait conclu vendredi après discussions qu’il n’était pas question retransmettre en direct les négociations », a ainsi souligné le responsable de la majorité présidentielle, ajoutant : « Il ne sert à rien de chercher du spectacle ».
Vendredi, des sources européennes ont fait état de sanctions – gel des avoirs, interdiction de séjour dans un pays de l’UE – à l’encontre de sept hauts responsables congolais, accusés d’entraver le processus électoral. Ces sanctions ne devraient toutefois pas entrer en application avant le 20 décembre, afin de voir si la médiation en cours peut déboucher sur une sortie de crise. Actuellement à Washington, l’autre poids lourd de l’opposition congolaise, Moïse Katumbi, a de son côté affirmé qu’il envisageait de rentrer en RD Congo si le dialogue venait à échouer et si Joseph Kabila ne quittait pas la présidence.