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La conférence de presse, initialement prévue à 10 heures 30 mn, n’a démarré qu'après midi, vu l’arrivée tardive d’El Hadj Diouf, prétextant un passage à une émission sur Walf Tv. Ses camarades, ayant débuté leur face à face avec la presse, sans lui, l’avocat prendra le train en marche, visiblement exténué par toutes les rencontres politiques du moment. Cependant, n’en démordant pas contre Abdoulaye Wade, il l’accusera d’être l’instigateur de l’attaque de la mairie de Sicap Mermoz.
Allant plus loin, l’avocat appellera à «tuer tout agresseur qui tenterait de faire du mal à une personnalité» et confessera avoir honte du comportement de Souleymane Ndéné Ndiaye et de son ministre de l’intérieur Ousmane Ngom.
Le droit de l'hommiste, Pierre Sané, ancien Secrétaire Général d’Amnesty International, trouvant ce discours irresponsable, marquera son opposition, précisant: « il ne faut pas apporter un message de violence demandant de tuer des gens. Ces agresseurs sont de simples garçons, pauvres, à la limite et à la recherche de pécules. Ils ont des enfants et une famille donc, toute vie doit être préservée. Cependant, c’est du coté des responsables et commanditaires de cette attaque, que l’arme de la justice doit être braquée. Nous devons être responsables, et tenir un langage de paix et de fermeté. Parce que c’est un cas politique, pas un cas de droit commun».
Percevant ces propos comme un désaveu à son endroit, Me El Hadj Diouf, voyant rouge, réagira, de manière épidermique, en ces termes : «il n’appartient pas à des militants du Parti socialiste de nous faire la leçon. Barth s’est battu et je me bats à ses côtés. Mais, ces gens me déçoivent et je me retire de ce dossier». Confiant agir, de son propre chef, sans être payé, il se dira déçu Parti Socialiste qui, dit-il, a lâché Barthelemy Dias. Aussi, Me El Hadj Diouf dira ne revenir que si Barth le lui demandera, après avoir écarté les socialistes de son dossier.
Source REwmi-Senxibar
Allant plus loin, l’avocat appellera à «tuer tout agresseur qui tenterait de faire du mal à une personnalité» et confessera avoir honte du comportement de Souleymane Ndéné Ndiaye et de son ministre de l’intérieur Ousmane Ngom.
Le droit de l'hommiste, Pierre Sané, ancien Secrétaire Général d’Amnesty International, trouvant ce discours irresponsable, marquera son opposition, précisant: « il ne faut pas apporter un message de violence demandant de tuer des gens. Ces agresseurs sont de simples garçons, pauvres, à la limite et à la recherche de pécules. Ils ont des enfants et une famille donc, toute vie doit être préservée. Cependant, c’est du coté des responsables et commanditaires de cette attaque, que l’arme de la justice doit être braquée. Nous devons être responsables, et tenir un langage de paix et de fermeté. Parce que c’est un cas politique, pas un cas de droit commun».
Percevant ces propos comme un désaveu à son endroit, Me El Hadj Diouf, voyant rouge, réagira, de manière épidermique, en ces termes : «il n’appartient pas à des militants du Parti socialiste de nous faire la leçon. Barth s’est battu et je me bats à ses côtés. Mais, ces gens me déçoivent et je me retire de ce dossier». Confiant agir, de son propre chef, sans être payé, il se dira déçu Parti Socialiste qui, dit-il, a lâché Barthelemy Dias. Aussi, Me El Hadj Diouf dira ne revenir que si Barth le lui demandera, après avoir écarté les socialistes de son dossier.
Source REwmi-Senxibar