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Une Sénégalaise, serveuse dans un bar-restaurant de Nouakchott, la capitale de nos voisins du Nord, a été violée par quatre policiers. Lesquels, étaient pourtant censés la protéger en la conduisant chez elle, après que le taxi à bord duquel K.C (selon ses initiales) espérait rentrer, a été immobilisé pour papiers incomplets.
Pensant pouvoir trouver une solution auprès des policiers, ces derniers se révéleront finalement de véritables bourreaux pour elle. Ils l’ont conduite sur une plage déserte de la capitale mauritanienne avant d’assouvir à tour de rôle leur libido.
L’ensemble de ces informations figurent sur un PV de l’Ambassade du Sénégal en Mauritanie, consulté par l’envoyé spécial du journal.
Selon ce dernier, c’est d’ailleurs là, la seule piste permettant d’être au courant de ce qui s’est passé, étant donné la banalité accordée par les autorités policières mauritaniennes à ce drame, comme aux précédents. Même si aux dernières nouvelles, selon L’Observateur, les quatre policiers ont été radiés. Il reste que, à Nouakchott le risque reste latent sur les Sénégalaises, le viol étant un des sujets les plus traités dans les tribunaux mauritaniens.
Et le plus souvent, les taxis, impératifs pour le transport, sont les moyens utilisés pour alpaguer les (futures) victimes.
Pensant pouvoir trouver une solution auprès des policiers, ces derniers se révéleront finalement de véritables bourreaux pour elle. Ils l’ont conduite sur une plage déserte de la capitale mauritanienne avant d’assouvir à tour de rôle leur libido.
L’ensemble de ces informations figurent sur un PV de l’Ambassade du Sénégal en Mauritanie, consulté par l’envoyé spécial du journal.
Selon ce dernier, c’est d’ailleurs là, la seule piste permettant d’être au courant de ce qui s’est passé, étant donné la banalité accordée par les autorités policières mauritaniennes à ce drame, comme aux précédents. Même si aux dernières nouvelles, selon L’Observateur, les quatre policiers ont été radiés. Il reste que, à Nouakchott le risque reste latent sur les Sénégalaises, le viol étant un des sujets les plus traités dans les tribunaux mauritaniens.
Et le plus souvent, les taxis, impératifs pour le transport, sont les moyens utilisés pour alpaguer les (futures) victimes.