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Le journal Quotidien dans son édition de ce mardi publie les bonnes feuilles de l’ouvrage, un essai de 96 pages dont voici quelques extraits.« Le mérite de Y en marre est d’avoir réussi à briser l’inertie, l’indifférence et l’inaction des Sénégalais. Ayant très tôt compris qu’un mouvement social a besoin de visibilité, d’actions concrètes sur le terrain, il a initié une démarche pour faire comprendre sa cause et se faire entendre par les pouvoirs publics. Se différenciant des intellectuels, des groupements platoniques plus portés à la réflexion qu’à l’action, il s’est signalé par sa volonté de participer à l’émergence d’un « état collectif d’une conscience collective», suivant la belle formule du sociologue canadien Guy Rocher.Porté par le courage insolite d’un engagement libre des pesanteurs traditionnelles, Y en a marre traduit ainsi l’actualité d’une impatience qui en appelle à l’émergence d’une culture de bonne gouvernance s’érigeant sur les décombres des pratiques prédatrices en cours et qu’illustrent tous les scandales qui ont fait la Une des médias sénégalais »
Par la fraîcheur de sa révolte, le mouvement replace l’exigence éthique au cœur de notre époque (…).
seneweb