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A partir des prochaines élections locales du 16 mars 2014, les maires des communes seront élus au «suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à un tour dans le ressort de la commune» si les députés votent le projet de loi qui a été déposée à l’Assemblée nationale. Selon l’Obs qui exploite le document déposé le 20 avril 2013 par les députés Cheikh Tidiane Ndiaye de la Coalition «Takku deferaat Sénégal», Cheikh Tidiane Diouf de Rewmi et Aïssatou Bambado Sall du Parti socialiste (Ps), sera «élu maire de la commune, la tête de liste du parti ou de la coalition de partis qui aura obtenu le plus grand nombre de suffrages valablement exprimés». Les conseillers municipaux seront élus pour moitié au scrutin majoritaire à un tour sans panachage, ni vote préférentiel et sur liste complète. L’autre moitié des conseillers municipaux, sera élu «au scrutin proportionnel avec application du quotient municipal, la répartition des restes se faisant selon le système du plus fort reste».
Cette modification a été proposé pour «mettre fin au chantage permanent subi par les exécutifs locaux durant leur mandat», mais aussi pour «bannir le marchandage politique autour des postes qui précède l’élection des exécutifs locaux», lit-on dans l’exposé des motifs de la proposition de loi.
seneweb