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La séance s’est déroulée entre 14 et 18 heures. selon L’As, il s’est permis de se coucher sous un arbre, sur une tombe, prétextant qu’il est fatigué par les conditions de sa garde-à-vue. Le fossoyeur puisque c’est de lui qu’il s’agit, en ensemble gris Obasanjo, qui a désigné trois tombes, a fait tourner les flics en bourrique, pour la quatrième sépulture.
« Ne nous fatigue pas avec tes tergiversations, tu sais très bien où se trouve cette quatrième tombe », a-t-il lancé à l’endroit du fossoyer.
« Quel intérêt ai-je à ne pas vous dire la vérité. Même si vous me tuez, je vous ai dit ce que je sais. J’ai vu qu’il y avait un désordre dans deux tombes et je les ai arrangées, c’est tout ce que je peux me reprocher » dans ce qu’il est, désormais convenu d’appeler l’affaire des profanations de tombes du cimetière de Pikine.
C’est vers 15 heures 45 minutes que Saër Gningue, le fossoyeur du cimetière de Pikine a été conduit sur les lieux pour les besoins de la reconstitution des faits dans l’affaire des tombes profanées.
Mais Saër Gningue, reconnaissant les faits, refuse cependant de dénoncer les commanditaires : «Je connais les tenants et les aboutissants de cette affaire. Je préfère qu’on me tue, mais je ne dirai jamais les noms des profanateurs de ces tombes», a-t-il déclaré aux policiers.
Deux nouveaux cas de profanations de tombes ont été constatés mardi matin, après celles de la semaine passée.
IGFM