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Plus d'interactions, plus d'échanges, plus de politique. Après un premier débat parfois trop corseté, cette deuxième confrontation s'annonce plus directe, moins institutionnelle.
Le temps prévu pour répondre aux autres candidats a été rallongé de 30 secondes et les thématiques seront plus clivantes : l'Europe, l'éducation ou encore la lutte contre la délinquance ou contre le terrorisme.
Mais c'est sur l'exercice du pouvoir que les différences devraient être les plus marquées, d'abord entre Nicolas Sarkozy et Alain Juppé. François Fillon pourrait de son côté en profiter pour attaquer une nouvelle fois la probité de l'ancien président.
Les candidats seront également interrogés sur leur ligne politique, un thème sur lequel Nathalie Kosciusko-Morizet entend souligner sa différence. Tout comme Bruno Le Maire, l'homme du renouveau a surtout prévu de se lâcher, lui qui a reconnu avoir raté sa prestation sur TF1.
A quelques heures de l'émission, Alain Juppé arrive encore une fois en position de force, conforté par le ralliement de Valérie Pécresse et par les bons sondages. Mais contrairement au premier débat, le maire de Bordeaux aura peut-être plus de mal à rester au-dessus de la mêlée.
Le temps prévu pour répondre aux autres candidats a été rallongé de 30 secondes et les thématiques seront plus clivantes : l'Europe, l'éducation ou encore la lutte contre la délinquance ou contre le terrorisme.
Mais c'est sur l'exercice du pouvoir que les différences devraient être les plus marquées, d'abord entre Nicolas Sarkozy et Alain Juppé. François Fillon pourrait de son côté en profiter pour attaquer une nouvelle fois la probité de l'ancien président.
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