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"Terrorisme oblige ! Le gouvernement veut réguler les grands rassemblements organisés lors des fêtes de Noël et de Saint-Silvestre", annonce le journal Le Quotidien, citant le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, selon qui les "festivités seront réglementées à défaut d’être interdites", en fin d’année.
"A cause de la menace terroriste, les autorités étatiques ont décidé de revoir la célébration des fêtes de fin d’année. Selon le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique", Abdoulaye Daouda Diallo, "l’usage des feux d’artifice sera réglementé et interdit", rapporte Sud Quotidien.
"Mieux, les fêtes organisées dans ce cadre feront aussi l’objet d’une autorisation administrative", ajoute Sud Quotidien, se faisant l’écho des déclarations de M. Diallo, lors d’une séance plénière à l’Assemblée nationale.
"Point de rassemblements, point de pétards, point de fumigènes", résume Libération, avant d’ajouter : "L’Etat réduit les fastes de fin d’année". La Tribune revient sur la même information, en parlant de "mesures contre les pétards et les fêtards".
"Dakar en toge de fer", renchérit Enquête. Il ajoute que la place de l’indépendance, dans le centre-ville dakarois, "ne brillera pas le 31 décembre" avec ces mesures annoncées par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, lors du vote, par les députés, du budget de son département pour l’exercice 2016.
"Dakar en toge de fer", renchérit Enquête. Il ajoute que la place de l’indépendance, dans le centre-ville dakarois, "ne brillera pas le 31 décembre" avec ces mesures annoncées par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, lors du vote, par les députés, du budget de son département pour l’exercice 2016.
"La menace terroriste n’est pas qu’un simple sujet de conversation à la mode pour les autorités de l’Etat du Sénégal qui semblent prendre la pleine mesure des risques terroristes qui planent sur notre pays, constate Enquête. Sans faire de tintamarre, des mesures strictes de surveillance sont appliquées depuis quelques semaines dans la capitale sénégalaise (…)".
"Le terrorisme compromet les fêtes de fin d’année", souligne également Le Populaire, à la Une duquel le ministre de l’Intérieur enfonce le clou : "Des arbres de Noël ou bien des festivités à chaque coin de rue, c’est un comportement qu’il faut bannir aujourd’hui".
"L’interdiction des rassemblements pour les fêtes de fin d’année (…) dévoile en filigrane l’identité de la première victime’’, le maire de Dakar Khalifa Sall, "dont le concept novateur de Ribidion, représente un temps fort de communion et de rencontres entre les populations et les artistes, autour de trois axes que sont la décoration, l’animation et la communication (…)", analyse Waa Grand Place.
"L’interdiction des rassemblements pour les fêtes de fin d’année (…) dévoile en filigrane l’identité de la première victime’’, le maire de Dakar Khalifa Sall, "dont le concept novateur de Ribidion, représente un temps fort de communion et de rencontres entre les populations et les artistes, autour de trois axes que sont la décoration, l’animation et la communication (…)", analyse Waa Grand Place.
Plusieurs quotidiens reviennent par ailleurs sur la profanation du cimetière musulman de Pikine, après la découverte de quatre corps sortis de leurs tombes ces derniers jours.
"Deux autres corps extraits de leur tombe et exposés à l’air libre ont été à nouveau découverts hier", mardi, s’ajoutant aux deux corps précédemment découverts, vendredi dernier, rapporte L’Observateur.
"Les autorités de la ville annoncent des mesures draconiennes pour sécuriser les lieux". Les populations, pour leur part, comptent organiser "une marche de protestation, ce vendredi", indique Enquête.
"L’invasion des profanateurs de sépultures au cimetière de Pikine fait naître la peur (..)" dans cette commune de la banlieue dakaroise, note Le Quotidien.
Le fossoyeur, "toujours en garde à vue à la police, a été conduit sous bonne escorte, pour une reconstitution des faits", renseigne L’Observateur.
Le mis en cause est de toutes les façons "mal barré" (Le Populaire), mais il refuse de donner les noms des commanditaires, si l’on en croit La Tribune.
APS
Le mis en cause est de toutes les façons "mal barré" (Le Populaire), mais il refuse de donner les noms des commanditaires, si l’on en croit La Tribune.
APS