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Les transporteurs échouent, la pluie paralyse Dakar", écrit à sa Une Le Populaire. Le journal renseigne que le mot d’ordre de grève des transporteurs a été diversement suivi, en expliquant qu’ils sont partis en rangs dispersés.
La raison est que, selon cette même parution, la plupart des chauffeurs ont pris la route, boycottant ainsi le mot d’ordre de grève.
"Par contre, souligne encore Le Populaire, dans les régions comme à Kolda et Kaolack, les transporteurs ont peur de prendre la route. Leurs collègues grévistes usant de la violence pour les contraindre à faire la grève".
Le Soleil indique que la grève de deux jours déclenchée par le Collectif des transporteurs et conducteurs routiers a présenté un double visage à la gare "les Baux maraîchers" à Dakar. Si le trafic urbain a quelque peu fonctionné, l’interurbain, a été complètement paralysé, ajoute le quotidien national.
Le syndicaliste annonce par ailleurs dans La Tribune que "les deux jours de grève vont engendrer environ 14 milliards de Francs CFA de perte".
"Si au niveau du trafic interurbain, la paralysie est presque totale, avec les gares urbaines de l’intérieur du pays vides, même si les vélos taxi ont sauvé la face par endroits, ce mouvement d’humeur n’a pas produit les effets escomptés à Dakar et sa région au premier jour", lit-on dans les colonnes de Sud quotidien.
Il indique que, mis à part quelques véhicules de transport en commun qui ont suivi le mot d’ordre, les bus de Dakar Dem Dikk, les mini bus Tata, des taxis, etc., ont assuré et sauvé les usagers du calvaire. D’où son titre "Dakar Dem Dikk et AFTU sauvent les usagers".
D’ailleurs, le Secrétaire général du Syndicat national des transports routiers du Sénégal, Alassane Ndoye, parlant de réussite du mouvement, reconnaît que "c’est à Dakar qu’il y a seulement des défaillances".
Le syndicaliste annonce par ailleurs dans La Tribune que "les deux jours de grève vont engendrer environ 14 milliards de Francs CFA de perte".
Le président de l’Union des routiers du Sénégal, Gora Khouma déclare dans Le Quotidien que "la grève est bien suivie", ajoutant : "en plus l’Etat ne veut rien faire".
"J’ai entendu des représentants de l’Etat dire que les syndicalistes veulent tordre la main à l’Etat. Ce qu’ils défendent est indéfendable puisqu’ils veulent les bus qui ont été fraudés, que la Douane a saisi et ils veulent une réaction", martèle le syndicaliste dans des propos repris par ce journal.
Dans le même temps, il écrit que "le ministère chargé des Transports et le ministère du Travail, en concertation étroite avec la Douane, ont décidé fermement qu’une mesure d’indulgence ne peut concerner les cas manifestes de fraudes".
Selon l’AS, le mouvement d’humeur des transporteurs a causé de sérieux désagréments chez les usagers qui ne savent plus où donner de la tête.
Comme si cela ne suffisait pas de fortes pluies sont tombées hier (mercredi) à Dakar, ajoute le journal d’où son titre "dans l’enfer des Dakarois".
A en croire L’AS, Dakar qui a enregistré ces dernières quarante -huit heures de fortes pluies a vu plusieurs de ses quartiers sous les eaux.
"Entre la pluie et la grève des transporteurs, Dakar invivable", relève, de son côté La Tribune selon qui, hier (mercredi) à l’heure de pointe matinale, les Dakarois ont vécu des moments difficiles sur les routes de la capitale à cause la pluie.
Selon ce journal, "l’inaction du service de l’assainissement face à une canalisation défectueuse a accentué le calvaire des habitants de la capitale".
Pour sa part, Le Populaire indique que Dakar et sa banlieue pataugent après les fortes pluies enregistrés ces deux derniers jours, en ajoutant qu’il était difficile de circuler ou de vaquer à ses occupations.