Présidence de la Commission de l'Union africaine: Nkosazana Zuma, une femme élue à la tête

Union Africaine Jean ping le mandat de trop
Jean Ping a péché, il a péché non pour n’avoir pas eu à servir le continent. Loin de là. Pour l’histoire, il faut reconnaitre au président sortant de la Commission de l’Union Africaine qu’il a eu à prendre des positions et initiatives qui en disent long, qui témoignent de son degré d’engagement au service du continent et de sa volonté de remplir pleinement sa mission .Alors que nul n’est dupe de la proximité et de la connivence que les autorités de son pays d’origine entretiennent avec certaines puissances qui s’accrochent encore à l’Afrique et continuent à rêver en faire une chasse gardée et de caporaliser ses différentes organisations qu’elles soient régionales ou continentales.
La position de Jean Ping en relation au mode opératoire de la triste Cour Pénale Internationale est connue. Il n’a jamais utilisé la langue de bois pour stigmatiser cette institution qui-au lieu de dire le droit, de faire respecter la morale universelle –se couche à plat ventre pour servir des intérêts politiques et idéologiques
Jean Ping s’était aussi particulièrement illustré dans la recherche d’une solution pacifique, politique à la crise en Lybie n’hésitant même pas à aller au siège de l’Otan pour faire revenir à la raison , les va-t-en-guerre de cette machine à détruire et à tuer. Mais c’était sans compter avec l’aveuglement et la cupidité des donneurs d’ordre de cette organisation dont les méthodes d’action et l’insensibilité heurtent toutes les bo...

Union Africaine Jean ping le mandat de trop
Jean Ping a péché, il a péché non pour n’avoir pas eu à servir le continent. Loin de là. Pour l’histoire, il faut reconnaitre au président sortant de la Commission de l’Union Africaine qu’il a eu à prendre des positions et initiatives qui en disent long, qui témoignent de son degré d’engagement au service du continent et de sa volonté de remplir pleinement sa mission .Alors que nul n’est dupe de la proximité et de la connivence que les autorités de son pays d’origine entretiennent avec certaines puissances qui s’accrochent encore à l’Afrique et continuent à rêver en faire une chasse gardée et de caporaliser ses différentes organisations qu’elles soient régionales ou continentales.
La position de Jean Ping en relation au mode opératoire de la triste Cour Pénale Internationale est connue. Il n’a jamais utilisé la langue de bois pour stigmatiser cette institution qui-au lieu de dire le droit, de faire respecter la morale universelle –se couche à plat ventre pour servir des intérêts politiques et idéologiques
Jean Ping s’était aussi particulièrement illustré dans la recherche d’une solution pacifique, politique à la crise en Lybie n’hésitant même pas à aller au siège de l’Otan pour faire revenir à la raison , les va-t-en-guerre de cette machine à détruire et à tuer. Mais c’était sans compter avec l’aveuglement et la cupidité des donneurs d’ordre de cette organisation dont les méthodes d’action et l’insensibilité heurtent toutes les bonnes .consciences.
Jean Ping a pêché seulement pour n’avoir pas fait sien ce dicton « quand un moment de grâce vous accorde quelque chose de spécial, il ne faut jamais commettre le sacrilège de trop en demander »
Jean Ping a fauté pour avoir demandé le mandat de trop. Il se serait effacé volontairement cédant sa place à la Sud Africaine, à une femme, il aurait terminé en beauté et laissé intact ses chances de rebondir ailleurs dans la gestion des affaires non plus Africaines mais mondiales. Peut-être que rien n’est encore perdu pour lui.