Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Onze associations, sélectionnées dans le cadre de cet appel à projet lancé en août, accompagneront les réfugiés et les familles dans cette initiative qui vise à "donner des conditions d'accueil dignes" aux 1.361 réfugiés retenus et "leur permettre de se construire un avenir en France", a indiqué la ministre lors d'une conférence de presse.
L'expérience, prévue pour durer deux ans, vise uniquement des réfugiés statutaires, c'est à dire ayant obtenu l'asile, mais pas les demandeurs d'asile ni les exilés n'ayant pas entamé de démarches. 846 réfugiés hébergés en Ile-de-France et 515 en régions
Ils seront hébergés à titre gratuit ou "selon une participation définie en fonction de leurs ressources", dans des logements comportant "au moins une chambre privative", précise le ministère.
Les associations toucheront, pour leur part, une aide pouvant atteindre 1.500 euros par an et par personne aidée. Elle seront chargées d'identifier les familles volontaires et les réfugiés, et de "procéder à l'assemblage qui semble le plus pertinent", a expliqué la directrice générale du Samu social de Paris.
Mais les associations devront aussi assurer l'accompagnement, notamment pour les démarches administratives, la formation linguistique et l'insertion. Car le logement chez des particuliers augmente aussi les chances de trouver un emploi. "En Ile-de-France, 44% des réfugiés que nous avons accompagnés ont trouvé un travail grâce à la famille", a assuré un membre de l'association Singa. Au total, 846 réfugiés seront hébergés en Ile-de-France et 515 en régions.
L'expérience, prévue pour durer deux ans, vise uniquement des réfugiés statutaires, c'est à dire ayant obtenu l'asile, mais pas les demandeurs d'asile ni les exilés n'ayant pas entamé de démarches. 846 réfugiés hébergés en Ile-de-France et 515 en régions
Ils seront hébergés à titre gratuit ou "selon une participation définie en fonction de leurs ressources", dans des logements comportant "au moins une chambre privative", précise le ministère.
Les associations toucheront, pour leur part, une aide pouvant atteindre 1.500 euros par an et par personne aidée. Elle seront chargées d'identifier les familles volontaires et les réfugiés, et de "procéder à l'assemblage qui semble le plus pertinent", a expliqué la directrice générale du Samu social de Paris.
Mais les associations devront aussi assurer l'accompagnement, notamment pour les démarches administratives, la formation linguistique et l'insertion. Car le logement chez des particuliers augmente aussi les chances de trouver un emploi. "En Ile-de-France, 44% des réfugiés que nous avons accompagnés ont trouvé un travail grâce à la famille", a assuré un membre de l'association Singa. Au total, 846 réfugiés seront hébergés en Ile-de-France et 515 en régions.
Auteur: BFM TV - BFM TV