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De l’avis du ministre Alioune Sarr, la flambée des prix des denrées alimentaires comme le riz, l’huile et le sucre est due en grande partie à une faiblesse de l’offre. La consommation du riz au Sénégal est dominée par le riz brisé non parfumé d’origine indienne qui représente prés de 70% du marché.
« Durant le dernier trimestre de l’année 2016, avance M. Sarr, le rétrécissement de l’offre indienne, le renchérissement du Dollar et la décision du gouvernement de restreindre les importations de riz au mois d’octobre 2016, ont impacté sur le niveau des approvisionnements et des prix au Sénégal ».
L’absence de la variété de riz brisé d’origine indien homologué, poursuit-il, a occasionné chez les consommateurs un recours au riz brésilien et parfumé plus cher car n’étant pas homologué, ce qui justifierait cette augmentation des prix du riz.
« Pour l’huile de soja utilisé au Sénégal, la hausse des prix s’explique par une faiblesse de l’offre mondiale de l’huile de palme d’où provient l’huile de soja consommé dans le pays. Cette huile de palme a connu un accroissement de 41% en glissement annuel », indique le ministre.
Concernant le sucre, Alioune Sarr soutient qu’il n y pas eu de hausse de prix, le sucre est disponible. Ces perturbations sont essentiellement liées à une forte demande d’exportations, à la lenteur de la facturation et la livraison à partir de Richard-Toll.
Toutefois, le ministre rassure que 180 mille tonnes de riz sont attendues à la fin du mois de février. Et l’Etat est en train de mettre en place des dispositifs pour le renforcement de l’offre.
« Durant le dernier trimestre de l’année 2016, avance M. Sarr, le rétrécissement de l’offre indienne, le renchérissement du Dollar et la décision du gouvernement de restreindre les importations de riz au mois d’octobre 2016, ont impacté sur le niveau des approvisionnements et des prix au Sénégal ».
L’absence de la variété de riz brisé d’origine indien homologué, poursuit-il, a occasionné chez les consommateurs un recours au riz brésilien et parfumé plus cher car n’étant pas homologué, ce qui justifierait cette augmentation des prix du riz.
« Pour l’huile de soja utilisé au Sénégal, la hausse des prix s’explique par une faiblesse de l’offre mondiale de l’huile de palme d’où provient l’huile de soja consommé dans le pays. Cette huile de palme a connu un accroissement de 41% en glissement annuel », indique le ministre.
Concernant le sucre, Alioune Sarr soutient qu’il n y pas eu de hausse de prix, le sucre est disponible. Ces perturbations sont essentiellement liées à une forte demande d’exportations, à la lenteur de la facturation et la livraison à partir de Richard-Toll.
Toutefois, le ministre rassure que 180 mille tonnes de riz sont attendues à la fin du mois de février. Et l’Etat est en train de mettre en place des dispositifs pour le renforcement de l’offre.