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La baisse de production passerait à un niveau de 32,5 millions de barils par jour — la fourchette basse des 32,5 à 33 millions de barils évoqués à Alger —, contre 33,47 en août selon l’Agence internationale de l’Énergie (AIE). Cette réduction de la production, la plus grosse depuis 2008, devrait permettre aux pays producteurs de soutenir le cours de l’or noir, en nette baisse à cause d’une offre excédentaire depuis des mois. Cet objectif est censé entrer en vigueur au 1er janvier 2017.
« Si les producteurs du Moyen-Orient sont prêts à baisser leurs volumes pour faire monter les prix et les Russes à stabiliser les leurs, d’autres pays dont la dépendance au pétrole est très forte, le Nigeria et l’Angola par exemple, ne le souhaitent pas et veulent au contraire être exemptés de quotas contraignants », indiquait récemment à Jeune Afrique l’analyste Jubril Kareem, d’Ecobank.
Le baril grimpait de +7,6% à Londres pour atteindre 49,9 dollars.
Dans le détail, selon Reuters, l’Arabie Saoudite aurait accepté réduire sa production de 500 000 barils par jour, à 10,06 millions de barils, l’Iran de geler sa production à 3,797 millions de barils. Une autre coupe — de 600 000 barils par jour — des pays non-membres de l’Opep, comme la Russie, était également espérée.
« Si les producteurs du Moyen-Orient sont prêts à baisser leurs volumes pour faire monter les prix et les Russes à stabiliser les leurs, d’autres pays dont la dépendance au pétrole est très forte, le Nigeria et l’Angola par exemple, ne le souhaitent pas et veulent au contraire être exemptés de quotas contraignants », indiquait récemment à Jeune Afrique l’analyste Jubril Kareem, d’Ecobank.
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Dans le détail, selon Reuters, l’Arabie Saoudite aurait accepté réduire sa production de 500 000 barils par jour, à 10,06 millions de barils, l’Iran de geler sa production à 3,797 millions de barils. Une autre coupe — de 600 000 barils par jour — des pays non-membres de l’Opep, comme la Russie, était également espérée.