Sans le savoir, Angel a participé en 2012 à « Undercover Boss », la version américaine de « Patron Incognito », diffusée chez nous sur M6. Le concept du programme ? Le PDG d’une entreprise est grimé en un « employé » et se fait passer pour un interne en formation dans sa propre société afin de tâter le pouls de son entreprise sur le terrain, lui-même.
Cette émission, diffusée sur CBS, est tombée sur la chaîne Modell’s Sporting Goods, et plus précisément, sur Angel. Cette dernière a dû former son propre patron, Mitchell Modell, qui pour l’occasion a été renommé « Joey », sans le savoir. Faisant son maximum pour que son nouveau « collègue » se sente à l'aise dans le magasin, elle montre qu’elle est une battante, qu’elle n’a peur de rien, et surtout qu’elle a toujours le sourire malgré l’enfer qu’elle vit dans la sphère privée. Et peu à peu, elle se confie. Elle raconte alors son difficile parcours à son collègue, sans se douter une seconde qu'il s'agit de son patron. « Ce n'est pas grave, je ne veux pas que tu sois triste pour moi. J'ai connu pire. On a dormi dans des arrêts de bus, on n'avait pas d'argent pour manger. Mais la vie s'améliore. Tant que tu te bats » déclare t-elle.
Devant autant de force et d’abnégation, de courage, le PDG sous couverture n’a pu s’empêcher de lâcher, ému en larmes : « C'est moi qui décide combien sont payés les gens qui travaillent ici, et ça me rend malade de savoir que l'un d'entre eux est sans-abri ».
Comme le prévoit l’émission « Undercover Boss », à la fin de chacune d’entre elles, les différents employés qui ont été suivis sont convoqués dans le bureau du patron. C’est à ce moment-là généralement que la magie opère, quand ils se rendent compte que la personne qu’ils ont formée pendant une ou plusieurs semaines n’est pas vraiment pas celle qu’ils pensaient. Touché en son for intérieur par la situation précaire de son employée modèle, le PDG lui propose une promotion ni plus ni moins qu’un poste d’assistant-manager au magasin de New York, assortie d’une prime annuelle de 13 000 euros. Mais surtout, bouleversé, l’homme lui signe un chèque de 230 000 euros, suffisamment pour acheter une maison et prendre un nouveau départ : « Je veux que tu partes immédiatement du foyer » dit-il. Sous le choc, comprenant à peine que sa vie venait de changer en quelques secondes, qu’elle allait enfin pouvoir vivre comme tout le monde et offrir à ses enfants la vie qu’ils méritent, Angel s’effondre, les jambes coupées par l’émotion. Une scène si forte que vous risquez de verser quelques larmes :
Cette émission, diffusée sur CBS, est tombée sur la chaîne Modell’s Sporting Goods, et plus précisément, sur Angel. Cette dernière a dû former son propre patron, Mitchell Modell, qui pour l’occasion a été renommé « Joey », sans le savoir. Faisant son maximum pour que son nouveau « collègue » se sente à l'aise dans le magasin, elle montre qu’elle est une battante, qu’elle n’a peur de rien, et surtout qu’elle a toujours le sourire malgré l’enfer qu’elle vit dans la sphère privée. Et peu à peu, elle se confie. Elle raconte alors son difficile parcours à son collègue, sans se douter une seconde qu'il s'agit de son patron. « Ce n'est pas grave, je ne veux pas que tu sois triste pour moi. J'ai connu pire. On a dormi dans des arrêts de bus, on n'avait pas d'argent pour manger. Mais la vie s'améliore. Tant que tu te bats » déclare t-elle.
Devant autant de force et d’abnégation, de courage, le PDG sous couverture n’a pu s’empêcher de lâcher, ému en larmes : « C'est moi qui décide combien sont payés les gens qui travaillent ici, et ça me rend malade de savoir que l'un d'entre eux est sans-abri ».
Comme le prévoit l’émission « Undercover Boss », à la fin de chacune d’entre elles, les différents employés qui ont été suivis sont convoqués dans le bureau du patron. C’est à ce moment-là généralement que la magie opère, quand ils se rendent compte que la personne qu’ils ont formée pendant une ou plusieurs semaines n’est pas vraiment pas celle qu’ils pensaient. Touché en son for intérieur par la situation précaire de son employée modèle, le PDG lui propose une promotion ni plus ni moins qu’un poste d’assistant-manager au magasin de New York, assortie d’une prime annuelle de 13 000 euros. Mais surtout, bouleversé, l’homme lui signe un chèque de 230 000 euros, suffisamment pour acheter une maison et prendre un nouveau départ : « Je veux que tu partes immédiatement du foyer » dit-il. Sous le choc, comprenant à peine que sa vie venait de changer en quelques secondes, qu’elle allait enfin pouvoir vivre comme tout le monde et offrir à ses enfants la vie qu’ils méritent, Angel s’effondre, les jambes coupées par l’émotion. Une scène si forte que vous risquez de verser quelques larmes :