«Ce festival s’est choisi des parrains que sont, particulièrement, le Président Barack Obama. Il y a deux de cela, il a fait une visite mémorable à Gorée. Nous pensons qu’il symbolise tellement de valeurs par rapport aux défis de l’heure qu’on ne pouvait pas trouver un meilleur parrain. Au moment, où il est en train de boucler un deuxième mandat », explique le maire.
Toutefois, il précise que «cette coïncidence heureuse nous a poussés naturellement à le choisir, sans aucune autre attente de lui rendre un hommage et de le donner en exemple au monde entier pour que les gens puisssent s’inspirer de son cursus, de sa vie et de tout ce qu’il symbolise pour comprendre que le monde doit aller dans un sens plus positif, plutôt que dans une logique de division, de violence, d’auto-destruction de l’humanité par elle-même».
«Naturellement, poursuit l’édile de Gorée, ce festival est placé sous l’égide du Président Macky Sall, qui est le président d’honneur de notre festival. Ce sera l’occasion de magnifier l’action du gouvernement, à travers une présence du ministère de la Culture qui nous a accompagnés à toutes les éditions».
Pour cette édition placée sous la double tutelle des ministères de la Culture et de du Tourisme, trois pays ont été retenus comme invités d’honneur, l’Afrique du Sud, la Côte d’Ivoire et les Etats-Unis. «Comme beaucoup de festivals au Sénégal, notre festival a des difficultés pour décoller, du fait qu’il y a toujours le nerf de la guerre qui pose problème. Nous sommes un festival citoyen et réaliste. Il ne sert à rien d’avoir des ambitions si on n’est pas à mesure de les réaliser avec les moyens mobilisés», lance Me Senghor qui promet que son équipe va se battre «pour boucler le budget évalué à 96 millions».
Le thème de la présente édition est «Mémoire et résilience». Selon le président du Comité d’organisation, «c’est une thématique de l’heure, même si elle nous renvoie au passé». «Parce que tout simplement, comme vous le savez, notre monde est traversé par différentes crises : des crises identitaires, des conflits. C’est la raison pour laquelle, ‘Gorée festival’ qui a toujours voulu utiliser la mémoire, la culture comme levier de rapprochement entre les peuples, a voulu s’inscrire dans une logique de promotion de la diversité pour se mettre dans une optique de lutter contre ces phénomènes des temps modernes qui sont, à certains niveaux, des résurgences qu’on a connues à travers le passé, à travers la traite négrière ou d’autres manifestations négatives», magnifie-t-il.
Toutefois, il précise que «cette coïncidence heureuse nous a poussés naturellement à le choisir, sans aucune autre attente de lui rendre un hommage et de le donner en exemple au monde entier pour que les gens puisssent s’inspirer de son cursus, de sa vie et de tout ce qu’il symbolise pour comprendre que le monde doit aller dans un sens plus positif, plutôt que dans une logique de division, de violence, d’auto-destruction de l’humanité par elle-même».
«Naturellement, poursuit l’édile de Gorée, ce festival est placé sous l’égide du Président Macky Sall, qui est le président d’honneur de notre festival. Ce sera l’occasion de magnifier l’action du gouvernement, à travers une présence du ministère de la Culture qui nous a accompagnés à toutes les éditions».
Pour cette édition placée sous la double tutelle des ministères de la Culture et de du Tourisme, trois pays ont été retenus comme invités d’honneur, l’Afrique du Sud, la Côte d’Ivoire et les Etats-Unis. «Comme beaucoup de festivals au Sénégal, notre festival a des difficultés pour décoller, du fait qu’il y a toujours le nerf de la guerre qui pose problème. Nous sommes un festival citoyen et réaliste. Il ne sert à rien d’avoir des ambitions si on n’est pas à mesure de les réaliser avec les moyens mobilisés», lance Me Senghor qui promet que son équipe va se battre «pour boucler le budget évalué à 96 millions».
Le thème de la présente édition est «Mémoire et résilience». Selon le président du Comité d’organisation, «c’est une thématique de l’heure, même si elle nous renvoie au passé». «Parce que tout simplement, comme vous le savez, notre monde est traversé par différentes crises : des crises identitaires, des conflits. C’est la raison pour laquelle, ‘Gorée festival’ qui a toujours voulu utiliser la mémoire, la culture comme levier de rapprochement entre les peuples, a voulu s’inscrire dans une logique de promotion de la diversité pour se mettre dans une optique de lutter contre ces phénomènes des temps modernes qui sont, à certains niveaux, des résurgences qu’on a connues à travers le passé, à travers la traite négrière ou d’autres manifestations négatives», magnifie-t-il.