Mais quid d’Hatem Ben Arfa qui fut incontestablement le joueur le plus performant du dernier championnat de France ? Certes, il serait malsain pour un sélectionneur d’adosser ses choix à des critères ethniques ou raciaux. Mais, dans cette France trouble et crispée, divisée et chatouilleuse, appeler Ben Harfa dans ces conditions aurait été une manière de rassembler et de réunir. De retenter, même si c’est illusoire, le fameux Black-Blanc-Beur, avec les meilleurs enfants du pays.
Le football français n’existerait pas tout à fait sans l’apport multiple des populations venues d’ailleurs. Des Européens de différentes nationalités, certes, mais aussi des Africains du Sahel et des Africains du Maghreb, ces derniers constituant le plus fort contingent.
Sont-ils pour autant cooptés ou recrutés dans les instances dirigeantes ? Combien, parmi eux, deviennent à la fin de leur carrière cadres administratifs dans les clubs ?
« Il n’y a pas de racisme en France », a affirmé Bruno Le Maire. C’est peut-être vrai. Mais Régis Debray nous rappelait dernièrement que le contraire d’une vérité peut être une autre vérité.
DAKARACTUeut-être vrai. Mais Régis Debray nous rappelait dernièrement que le contraire d’une vérité peut être une autre vérité.
DAKARACTU
Sont-ils pour autant cooptés ou recrutés dans les instances dirigeantes ? Combien, parmi eux, deviennent à la fin de leur carrière cadres administratifs dans les clubs ?
« Il n’y a pas de racisme en France », a affirmé Bruno Le Maire. C’est peut-être vrai. Mais Régis Debray nous rappelait dernièrement que le contraire d’une vérité peut être une autre vérité.
DAKARACTUeut-être vrai. Mais Régis Debray nous rappelait dernièrement que le contraire d’une vérité peut être une autre vérité.
DAKARACTU