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Le journaliste de la 2stv, Pape Alé Niang, qualifie les menaces du président gambien de «mépris». «Ces menaces ne m’ébranlent nullement. Je n’ai pas peur», dit-il d’emblée. Après une sortie du journaliste sénégalais sur les ondes de la radio Liberté, disant en substance que c’est aux Gambiens de solutionner leurs problèmes, il a été menacé par le président gambien, Yaya Jammeh.
Cette réaction du journaliste a été, ainsi, mal prise par Yaya Jammeh. En plus d’une interdiction de fouler le sol gambien à l’encontre du journaliste sénégalais, Yaya Jammeh aurait donné l’ordre à ses hommes de tuer le journaliste, s’il mettait les pieds dans son pays. Face à ces menaces, le journalise reste serein. «Si Yaya Jammeh m’appelle demain pour une interview, je vais y aller», ajoute le journaliste. D’après Pape Alé Niang, «même ceux qui sont couchés sur leur lit peuvent mourir, à plus forte raison ceux qui marchent».
Il se dit libre de ses mouvements et n’a rien changé de ses habitudes. «Je fréquente les mêmes endroits. Honnêtement, ces menaces ne me font rien du tout», déclare le journaliste qui persiste et signe : «C’est aux Gambiens de régler leurs propres problèmes. Ce n’est pas aux Sénégalais de débarquer Yaya Jammeh».
Pour lui, les autres pays ne doivent pas s’immiscer dans les problèmes de la Gambie, mais c’est aux populations de prendre en main leur destin. Des propos qui lui ont valu des menaces de mort de la part du président de la Gambie. Pape Alé Niang ne compte pas revenir sur ces propos. Encore mieux : «Si j’ai une mission en Gambie, je vais m’y rendre. Il ne peut rien contre moi, sauf m’interdire le sol gambien. Il en a le plein droit : c’est son pays. Si je débarque à l’aéroport, il peut me chasser». Il ajoute : « il ne peut rien me faire d’autre».
Sur les ondes de la radio Liberté, Pape Alé Niang avait déclaré: «Gambiens yi nio kham nouniouy léké seen kaani ». En d’autres termes, c’est aux Gambiens de venir à bout de leurs problèmes. A cause de ce propos tenus, Pape Alé est déclaré persona non grata en Gambie. Depuis quelques temps, le président Yaya Jammeh a décidé d’exécuter des prisonniers, dont un bon nombre de Sénégalais.
Avec Le Pays
Cette réaction du journaliste a été, ainsi, mal prise par Yaya Jammeh. En plus d’une interdiction de fouler le sol gambien à l’encontre du journaliste sénégalais, Yaya Jammeh aurait donné l’ordre à ses hommes de tuer le journaliste, s’il mettait les pieds dans son pays. Face à ces menaces, le journalise reste serein. «Si Yaya Jammeh m’appelle demain pour une interview, je vais y aller», ajoute le journaliste. D’après Pape Alé Niang, «même ceux qui sont couchés sur leur lit peuvent mourir, à plus forte raison ceux qui marchent».
Il se dit libre de ses mouvements et n’a rien changé de ses habitudes. «Je fréquente les mêmes endroits. Honnêtement, ces menaces ne me font rien du tout», déclare le journaliste qui persiste et signe : «C’est aux Gambiens de régler leurs propres problèmes. Ce n’est pas aux Sénégalais de débarquer Yaya Jammeh».
Pour lui, les autres pays ne doivent pas s’immiscer dans les problèmes de la Gambie, mais c’est aux populations de prendre en main leur destin. Des propos qui lui ont valu des menaces de mort de la part du président de la Gambie. Pape Alé Niang ne compte pas revenir sur ces propos. Encore mieux : «Si j’ai une mission en Gambie, je vais m’y rendre. Il ne peut rien contre moi, sauf m’interdire le sol gambien. Il en a le plein droit : c’est son pays. Si je débarque à l’aéroport, il peut me chasser». Il ajoute : « il ne peut rien me faire d’autre».
Sur les ondes de la radio Liberté, Pape Alé Niang avait déclaré: «Gambiens yi nio kham nouniouy léké seen kaani ». En d’autres termes, c’est aux Gambiens de venir à bout de leurs problèmes. A cause de ce propos tenus, Pape Alé est déclaré persona non grata en Gambie. Depuis quelques temps, le président Yaya Jammeh a décidé d’exécuter des prisonniers, dont un bon nombre de Sénégalais.
Avec Le Pays