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Les jours passés, le président de la République du Sénégal était courtisé pour prendre les rênes de la CEDEAO. Selon des informations, son profil prometteur faisait de lui un candidat idéal pour dénouer les crises secouant certains États. Mais il a finalement décliné l’offre d’après Africa Intelligence. Proposé pour prendre les rênes de la présidence de la CEDEAO, le président Sénégalais a simplement décliné. Un scénario qui aura finalement fait long feu. Selon les informations, Bassirou Diomaye Faye, a refusé la proposition de plusieurs capitales ouest-africaines de se porter candidat à la présidence de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).
Pourtant, le nom de Bassirou Diomaye Faye avait été ardemment poussé par plusieurs pays de la région. « En raison de son profil jeune et dynamique, pouvant potentiellement faciliter le retour des États suspendus comme le Mali et le Burkina Faso », écrit Africa Intelligence. Une candidature francophone séduisante, alors que la présidence aurait dû théoriquement revenir à un pays francophone, conformément à l’alternance établie au sein de l’organisation. Malgré ces pressions, le chef d’État sénégalais a finalement renoncé, sur les conseils de ses proches conseillers.
La situation politique délicate qu’il doit gérer au niveau domestique aurait également pesé dans la balance, le poussant à décliner cette opportunité régionale. Ce refus de Bassirou Diomaye Faye laisse désormais la voie grande ouverte à la reconduction de Bola Ahmed Tinubu, l’actuel président nigérian de la Cedeao.
Une perspective qui, bien que critiquée pour son bilan mitigé selon Africa Intelligence, semble se concrétiser « en l’absence d’autres candidats crédibles ».
Pourtant, le nom de Bassirou Diomaye Faye avait été ardemment poussé par plusieurs pays de la région. « En raison de son profil jeune et dynamique, pouvant potentiellement faciliter le retour des États suspendus comme le Mali et le Burkina Faso », écrit Africa Intelligence. Une candidature francophone séduisante, alors que la présidence aurait dû théoriquement revenir à un pays francophone, conformément à l’alternance établie au sein de l’organisation. Malgré ces pressions, le chef d’État sénégalais a finalement renoncé, sur les conseils de ses proches conseillers.
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