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"Je les défie de publier mon patrimoine, s’ils ne le font pas, je le ferai", a déclaré Me Ousmane Ngom à sa sortie du tribunal. L’ancien ministre de l’Intérieur du gouvernement Wade n’a pas manqué de fustiger l’"acharnement" de l’Etat sur les responsables politiques libéraux accusés de s’être enrichis indûment et convoqués pour audition devant la justice en période de campagne électorale.
"C’est de la poudre aux yeux, mon arrestation est politique ; ils ont vu que le Sopi continue sa marche et ils veulent nous anesthésier", a en outre indiqué Ousmane Ngom qui récuse la pertinence de l’argument des autorités judiciaires selon lequel il aurait enfreint à la loi en refusant de déférer à la convocation des enquêteurs.
Convoqué une première fois au bureau du Procureur général, Me Ngom a dû écourter la longue attente - deux heures à l’en croire - pour raison de campagne électorale. Il estime que les convocations dans le contexte des Législatives de responsables de l’ancien pouvoir à la gendarmerie ou au tribunal sont inopportunes et injustifiées. "Il n’y a pas d’urgence, la justice peut attendre : on est en campagne électorales pour les Législatives".
Ferloo.com
"C’est de la poudre aux yeux, mon arrestation est politique ; ils ont vu que le Sopi continue sa marche et ils veulent nous anesthésier", a en outre indiqué Ousmane Ngom qui récuse la pertinence de l’argument des autorités judiciaires selon lequel il aurait enfreint à la loi en refusant de déférer à la convocation des enquêteurs.
Convoqué une première fois au bureau du Procureur général, Me Ngom a dû écourter la longue attente - deux heures à l’en croire - pour raison de campagne électorale. Il estime que les convocations dans le contexte des Législatives de responsables de l’ancien pouvoir à la gendarmerie ou au tribunal sont inopportunes et injustifiées. "Il n’y a pas d’urgence, la justice peut attendre : on est en campagne électorales pour les Législatives".
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