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omme annoncé par Dakaractu, l'actuel coordonnateur du Pds a versé dans le déballage tous azimuts. En effet, saisissant son face à face avec la presse, Oumar Sarr puisqu'il s'agit de lui, a tiré à bout portant sur le Président de la République.
N'y allant pas avec le dos de la cuillère, le non moins maire de Dagana a laissé entendre ce qui suit : "je rappelle que les poursuites judiciaires font suite à un rapport de la Cour des comptes sur les exercices 2006-2009. J’informe aussi que la Cour des comptes n’avait pas jugé utile de poursuivre qui que ce soit". Et Oumar Sarr, très en verve, de renchérir : "le rapport de la Cour des comptes avait fait des recommandations utiles que le projet avait intégrées dans son fonctionnement". Toutefois, le coordonnateur des libéraux s'offusquera : "Pour la première fois dans l’histoire politique et judiciaire du Sénégal, le gouvernement s’est auto-saisi d’un dossier de la Cour des comptes pour mener des investigations supplémentaires et notamment pour condamner ou tout au moins emprisonner des personnes innocentes. Comme si la DIC pourrait être plus compétente que la Cour des comptes et ils osent encore parler de justice indépendante".
A ses yeux, "une seule personne aurait dû être condamnée à l’époque, c’est le premier ministre en 2006 qui, après les inondations de 2005, a signé illégalement un contrat léonin au Directeur de l’Agence créée à l’époque (ANLIB). Le premier acte de ce Directeur qui avait un salaire équivalent à ceux qu’ils ont aujourd’hui, fut de décaisser 10 millions de l’agence pour se payer des meubles. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles le Président Wade avait dissout l’Agence, en son temps..."
N'y allant pas avec le dos de la cuillère, le non moins maire de Dagana a laissé entendre ce qui suit : "je rappelle que les poursuites judiciaires font suite à un rapport de la Cour des comptes sur les exercices 2006-2009. J’informe aussi que la Cour des comptes n’avait pas jugé utile de poursuivre qui que ce soit". Et Oumar Sarr, très en verve, de renchérir : "le rapport de la Cour des comptes avait fait des recommandations utiles que le projet avait intégrées dans son fonctionnement". Toutefois, le coordonnateur des libéraux s'offusquera : "Pour la première fois dans l’histoire politique et judiciaire du Sénégal, le gouvernement s’est auto-saisi d’un dossier de la Cour des comptes pour mener des investigations supplémentaires et notamment pour condamner ou tout au moins emprisonner des personnes innocentes. Comme si la DIC pourrait être plus compétente que la Cour des comptes et ils osent encore parler de justice indépendante".
A ses yeux, "une seule personne aurait dû être condamnée à l’époque, c’est le premier ministre en 2006 qui, après les inondations de 2005, a signé illégalement un contrat léonin au Directeur de l’Agence créée à l’époque (ANLIB). Le premier acte de ce Directeur qui avait un salaire équivalent à ceux qu’ils ont aujourd’hui, fut de décaisser 10 millions de l’agence pour se payer des meubles. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles le Président Wade avait dissout l’Agence, en son temps..."