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Barack Obama a signé, mardi 10 juillet, un décret présidentiel critiqué, redéfinissant le rôle des agences de communication en cas de catastrophe naturelle ou de menace à la sûreté nationale. Après avoir établi que "le gouvernement fédéral doit avoir les moyens de communiquer à tout moment et en toutes circonstances pour assurer ses missions les plus urgentes et essentielles", ce texte précise les mesures qui peuvent être prises.
Le point 5.2 est notamment critiqué par les associations de défencse de la vie privée des internautes. Puisqu'il confie au secrétaire à la sécurité intérieure des Etats-Unis "la supervision du développement, des tests, de la mise en œuvre et de l'entretien" des mesures d'urgence mises en place par plusieurs relais de communication, y compris sur "les réseaux de communication non militaires", autrement dit l'Internet fourni au grand public.
Le site américain the verge rappelle toutefois qu'un décret présidentiel antérieur, rappelé dans le texte signé par M. Obama, établissait déjà la possibilité, pour le gouvernement fédéral de réquisitionner aussi bien les réseaux détenus par le gouvernement que ceux détenus par des opérateurs privés en cas de crise.
Le point 5.2 est notamment critiqué par les associations de défencse de la vie privée des internautes. Puisqu'il confie au secrétaire à la sécurité intérieure des Etats-Unis "la supervision du développement, des tests, de la mise en œuvre et de l'entretien" des mesures d'urgence mises en place par plusieurs relais de communication, y compris sur "les réseaux de communication non militaires", autrement dit l'Internet fourni au grand public.
Le site américain the verge rappelle toutefois qu'un décret présidentiel antérieur, rappelé dans le texte signé par M. Obama, établissait déjà la possibilité, pour le gouvernement fédéral de réquisitionner aussi bien les réseaux détenus par le gouvernement que ceux détenus par des opérateurs privés en cas de crise.