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La réforme du Code du travail est en marche. Un nouveau texte, plus moderne et juste selon ses initiateurs, devrait bientôt remplacé celui de 1997, jugé obsolète et décalé par rapport au contexte économique actuel. Parmi les changements attendus, il y a l’encadrement du travail des étrangers.
Ces derniers n’étaient pas pris en compte par le Code de 1997. Désormais, pour exercer au Sénégal, ils devront se munir d’un permis de travail. «Pourquoi on ne peut pas travailler en Europe sans permis de travail et au Sénégal, on peut venir et travailler comme bon nous semble ? Et c’est souvent des emplois qui pourraient être pourvus par des Sénégalais», pointe dans L’Observateur Lamine Fall, secrétaire général adjoint de la Cnts, membre du Conseil consultatif national du travail et de la sécurité sociale, qui se penche sur l’avant-projet de réforme dont l’élaboration remonte à 2022.
Le Conseil consultatif, qui réunit patronat, syndicat et fonctionnaires, a tenu sa dernière session vendredi dernier, renseigne le journal du Groupe futurs médias. Les résultats de ses travaux servira de base pour le nouveau Code du travail.
Ces derniers n’étaient pas pris en compte par le Code de 1997. Désormais, pour exercer au Sénégal, ils devront se munir d’un permis de travail. «Pourquoi on ne peut pas travailler en Europe sans permis de travail et au Sénégal, on peut venir et travailler comme bon nous semble ? Et c’est souvent des emplois qui pourraient être pourvus par des Sénégalais», pointe dans L’Observateur Lamine Fall, secrétaire général adjoint de la Cnts, membre du Conseil consultatif national du travail et de la sécurité sociale, qui se penche sur l’avant-projet de réforme dont l’élaboration remonte à 2022.
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