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« C’est une attaque surprise des terroristes de Boko Haram qui a fait deux morts parmi nos soldats ainsi que plusieurs blessés », a précisé à l’AFP une source sécuritaire sous couvert d’anonymat. D’après elle, « une dizaine de combattants » du groupe islamiste auraient également été péri lors de l’attaque.
Selon la télévision locale, cette attaque qui intervient moins d’une semaine après qu’une trentaine de combattants ont déposé les armes, a eu lieu samedi 31 décembre vers minuit, prenant pour cible des positions de l’armée à Baroua, une localité de la région de Diffa, à proximité de la frontière avec le Nigeria. Issoufou appelle Boko Haram à déposer les armes
En visite la semaine dernière dans cette zone du sud-est du pays, le ministre nigérien de l’Intérieur Mohamed Bazoum avait souligné « l’existence d’éléments nuisibles » de Boko Haram dans la région du lac Tchad même si les insurgés islamistes étaient « totalement en déperdition » depuis le mois de juillet selon lui.
Dans un message de vœux à la nation samedi soir, le président nigérien Mahamadou Issoufou a lancé « un appel à tous ceux qui se sont laissés entraîner dans la voie de l’égarement par Boko Haram », les encourageant à « se ressaisir et [à] déposer les armes ».
Selon la télévision locale, cette attaque qui intervient moins d’une semaine après qu’une trentaine de combattants ont déposé les armes, a eu lieu samedi 31 décembre vers minuit, prenant pour cible des positions de l’armée à Baroua, une localité de la région de Diffa, à proximité de la frontière avec le Nigeria.
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Dans un message de vœux à la nation samedi soir, le président nigérien Mahamadou Issoufou a lancé « un appel à tous ceux qui se sont laissés entraîner dans la voie de l’égarement par Boko Haram », les encourageant à « se ressaisir et [à] déposer les armes ».