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L'affaire s'est terminée le 10 décembre 2012 par un accord confidentiel de plusieurs millions entre DSK et Nafissatou Diallo. Mais les événements qui se sont déroulés dans la suite 2806 du Sofitel daine York le 14 mai 2011 continuent de passionner les journalistes d'un côté comme de l'autre de l'Atlantique. Cette semaine, L'Express publie les extraits de "Scandale DSK. Le procès qui aurait dû avoir lieu" écrit par un journaliste américain, John Solomon, qui dénonce depuis plus d'un an les "approximations" de l'enquête. Parmi les principales révélations du livre, l'enquêteur dévoile que Nafissatou Diallo aurait voulu mettre fin à ses jours le 4 juillet dernier. Le livre raconte que le soir de la fête nationale américaine, excédée par la procédure et la pression médiatique permanente, l'accusatrice de DSK aurait tout simplement craqué.
John Solomon dévoile le contenu d'un SMS dque Joan Illuzzi, l'assistante du procureur chargé de l'affaire aurait envoyé à Kenneth Thompson, l'avocat de Diallo. La magistrate, plutôt du côté de l'accusation, se serait effrayée de la consommation de somnifères de la victime présumée de DSK. "Ken, appelez moi dès que possible, j'ai un souci avec Nafi", aurait-elle écrt dans un premier message avant de déclarer à l'avocat : "Les procureurs sont avec Nafi à l'hôtel. Elle cherche des somnifères. Ils ont peur qu'elle se fasse du mal".
Erreurs dans l'enquête, examen corporel tardif de DSK, tergiversations de Nafissatou Diallo, suspicions immédiate des enquêteurs à son égard, théories du complot, pressions en tous genres, emballement médiatique, obsession du juge Cyrus Vance pour sa carrière qui l'ont conduit de la sévérité à la panique... Le livre de John Solomon recèle bien d'autres révélations avec une thèse commune : broyée par le système politique, judiciaire et médiatique, Nafissatou Diallo, parfois présentée comme une gagnante de l'affaire du Sofitel , n'a pas eu droit au procès qu'elle méritait et DSK s'en est quant à lui tiré à très bon compte.
John Solomon dévoile le contenu d'un SMS dque Joan Illuzzi, l'assistante du procureur chargé de l'affaire aurait envoyé à Kenneth Thompson, l'avocat de Diallo. La magistrate, plutôt du côté de l'accusation, se serait effrayée de la consommation de somnifères de la victime présumée de DSK. "Ken, appelez moi dès que possible, j'ai un souci avec Nafi", aurait-elle écrt dans un premier message avant de déclarer à l'avocat : "Les procureurs sont avec Nafi à l'hôtel. Elle cherche des somnifères. Ils ont peur qu'elle se fasse du mal".
Erreurs dans l'enquête, examen corporel tardif de DSK, tergiversations de Nafissatou Diallo, suspicions immédiate des enquêteurs à son égard, théories du complot, pressions en tous genres, emballement médiatique, obsession du juge Cyrus Vance pour sa carrière qui l'ont conduit de la sévérité à la panique... Le livre de John Solomon recèle bien d'autres révélations avec une thèse commune : broyée par le système politique, judiciaire et médiatique, Nafissatou Diallo, parfois présentée comme une gagnante de l'affaire du Sofitel , n'a pas eu droit au procès qu'elle méritait et DSK s'en est quant à lui tiré à très bon compte.