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Pour Me Moussa Bocar Thiam, abroger cette loi serait synonyme de revenir sur un équilibre délicat qui protège plusieurs acteurs politiques de poursuites judiciaires liées à des événements antérieurs à son adoption.
” Si cette loi est abrogée, toutes les personnes concernées se retrouveront dans la situation juridique antérieure. Elles pourront faire l’objet de poursuites ”, a-t-il affirmé.
Le juriste va plus en évoquant un scénario qui pourrait avoir des implications sans précédent : ” meme le président de la République et le Premier ministre pourraient etre jugés pour des faits qui n’ont rien à voir avec leur fonctions actuelles”
Cette perspective, selon lui, met en évidence le rôle crucial de cette loi dans le paysage politique et judiciaire du pays.