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Qui sont tenus de mettre en veilleuse leurs prestations dans les différentes boites de nuit de la capitale et même à l’intérieur du pays, à savoir : « Le Thiossane Night », « Penc Mi », « Madison », « Quai des Arts », « Le Soumbé », « Nirvana » pour ne citer que ces dancing d’autant que la listes et loin d’être exhaustive. Parmi ces musiciens, contraint de « chômer » on peut citer pêle- mêle : Youssou Ndour, Thione Ballago Seck, Salam Diallo, Alioune Mbaye Nder, Viviane Chudid, etc…
Cependant, si ces musiciens suscités préfèrent surseoir à leurs prestations dans les boites de nuit, pour « une pause bien méritée », d’autres saisissent l’opportunité de ce « break » pour entrer en studio, peaufiner un album. D’aucuns, parmi nos musiciens, profitent, en outre, de ce moment propice du Ramadan pour s’envoler vers d’autres cieux, notamment l’Hexagone, pour honorer des prestations en « live », qui dureront le temps du mois béni de Ramadan. C’est le cas du tonitruant Salam Diallo entre autres. D’ailleurs, l’auteur du « Nokoss Band » passe le plus clair de son temps en Angleterre et autres pays Européens.
Il se trouve que des boites de nuit de la place dérogent à la règle et ouvrent, comme si de rien n’était, leurs portes. C’est le cas de l’antre de Cyrill Bathily (ndlr : « Nirvana »).