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L’Association sénégalaise des administrateurs des services de santé (ASASS) et l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins (AFQUARIS) organisent les Journées internationales pour la sécurité et la qualité des soins dans l’espace francophone à Dakar depuis hier, jeudi 06 avril, et ce jusqu’au 08 courant. Le directeur général de la santé Dr Amadou Diack a profité de l’occasion pour rassurer les populations sénégalaises sur l’épidémie de méningite présente dans sous région (Nigéria) et qui guette le Sénégal.
«Nous avons un systéme de surveillance de type pyramidale qui implique l’ensemble des structures sanitaires, avec des points focaux et des équipes bien formées permettant de détecter de façons précoce toute situation à risque.» C’est le Dr Amadou Diack, directeur général de la santé, qui assure ainsi les populations par rapport à la menace de l’épidémie de méningite qui sévit au Nigéra. Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture des Journées internationales pour la qualité et la sécurité des soins organisées par l’Association sénégalaise des administrateurs des services de santé (ASASS) en collaboration avec l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins (AFQUARIS).
Selon le directeur général de la santé, un système d’alerte et de surveillance est mise en place, avec des dotations en médicaments et en vaccins. A l’en croire, il n’y a pas de raison de s’inquiéter puisque le Sénégal dispose de services de référence qui s’occupent de la prévention et de l’hygiène.
Nonobstant, poursuit-il, «notre département continu à mettre l’accent sur le mécanisme de sensibilisation sur la transmission de la pathologie». Il a également insisté, par ailleurs, sur la nécessité du dépistage après la détection précoce.
Revenant sur l’objet de la rencontre, il estime que le conclve de Dakar permettra à notre pays d’enregistrer des avancées significatives dans la gestion de ce dossier (qualité et sécurité des soins). Dr Amadou Diack de poursuivre: «le Sénégal est entrain de développer des actions concrètes dans ce sens, avec un système bien organisé. Pour illustration, nous pouvons citer l’organisation du système sanitaire sénégalais avec des établissements de santé qui sont le plus souvent interpelés par ces questions».
A ceux-là s’ajoute l’existence de certaines structures comme le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) qui s’occupe de la qualité du sang, le Laboratoire national de contrôle des médicaments, la Direction des laboratoires, entre autres, a-t-il encore soutenu.
Pour M. Diack, cette rencontre sera un moment d’échange pour renforcer la qualité et la sécurité des soins entre l’expertise des experts nationaux qui sont au niveau de l’ASASS et l’expérience et l’expertise de l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins de santé. Le directeur général de la santé s’est également réjoui de l’accompagnement de l’Agence japonaise pour la coopération internationale (JICA) et l’Organisation mondial de la santé (OMS) dans cette activité.
«Nous avons un systéme de surveillance de type pyramidale qui implique l’ensemble des structures sanitaires, avec des points focaux et des équipes bien formées permettant de détecter de façons précoce toute situation à risque.» C’est le Dr Amadou Diack, directeur général de la santé, qui assure ainsi les populations par rapport à la menace de l’épidémie de méningite qui sévit au Nigéra. Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture des Journées internationales pour la qualité et la sécurité des soins organisées par l’Association sénégalaise des administrateurs des services de santé (ASASS) en collaboration avec l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins (AFQUARIS).
Selon le directeur général de la santé, un système d’alerte et de surveillance est mise en place, avec des dotations en médicaments et en vaccins. A l’en croire, il n’y a pas de raison de s’inquiéter puisque le Sénégal dispose de services de référence qui s’occupent de la prévention et de l’hygiène.
Nonobstant, poursuit-il, «notre département continu à mettre l’accent sur le mécanisme de sensibilisation sur la transmission de la pathologie». Il a également insisté, par ailleurs, sur la nécessité du dépistage après la détection précoce.
Revenant sur l’objet de la rencontre, il estime que le conclve de Dakar permettra à notre pays d’enregistrer des avancées significatives dans la gestion de ce dossier (qualité et sécurité des soins). Dr Amadou Diack de poursuivre: «le Sénégal est entrain de développer des actions concrètes dans ce sens, avec un système bien organisé. Pour illustration, nous pouvons citer l’organisation du système sanitaire sénégalais avec des établissements de santé qui sont le plus souvent interpelés par ces questions».
A ceux-là s’ajoute l’existence de certaines structures comme le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) qui s’occupe de la qualité du sang, le Laboratoire national de contrôle des médicaments, la Direction des laboratoires, entre autres, a-t-il encore soutenu.
Pour M. Diack, cette rencontre sera un moment d’échange pour renforcer la qualité et la sécurité des soins entre l’expertise des experts nationaux qui sont au niveau de l’ASASS et l’expérience et l’expertise de l’Alliance francophone pour la qualité et la sécurité des soins de santé. Le directeur général de la santé s’est également réjoui de l’accompagnement de l’Agence japonaise pour la coopération internationale (JICA) et l’Organisation mondial de la santé (OMS) dans cette activité.