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Dans les colonnes de La Tribune, l'avocat estime que : « Le président de l’Assemblée nationale, tout comme les 149 autres députés, est élu au suffrage universel comme député et non comme président de l’Assemblée nationale. Il a donc les mêmes droits et les mêmes devoirs que les autres députés qui sont élus.
« Ils ne l’ont élu que pour un an afin de l’évaluer, avec son bureau. À l’issue de cette échéance, ils auront la latitude de sanctionner, de limoger ou de confirmer dans ses fonctions ceux qui avaient été pressentis pour diriger cette institution», explique-t-il également.
A la question à savoir si cette instabilité ne risque pas d’induire un fonctionnement discontinu de l’Assemblée et d’être source de dysfonctionnements, Me Diouf répond : « Quels dysfonctionnements ? C’est cela qui est normal. Un bureau est fait pour être évalué, pour être renouvelé. Et lui (Moustapha Niasse, ndlr), c’est le président du bureau de l’Assemblée nationale. Mais il ne doit pas avoir un mandat de cinq ans. Il est élu comme simple député en entrant à l’Assemblée nationale. Si on l’élit pour cinq ans, il prend en otage toute l’Assemblée nationale».