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« Je veux ce qu’il veut : Demander le suffrage des libéraux d’abord, puis des Sénégalais pour diriger le Sénégal. Je me présenterai aussi comme candidat du Pds au Congrès d’investiture », déclare-t-il. C’est dire que la question de la recevabilité de la candidature de Me Wade est loin de connaître son épilogue. D’autant plus que, ajoute Me Massokhna Kane, « la question n’est pas encore tranchée par les juristes du Pds eux-mêmes ». Même s’il estime que « les déclarations de Me Wade consistant à dire qu’il a « bloqué le nombre de mandats présidentiels à deux et qu’il ne pourrait plus se présenter », il y a quelques années, clarifient l’irrecevabilité de la candidature de Me Wade ».
Par ailleurs, Me Doudou Ndoye est revenu sur la Constitution du Sénégal, pour dire qu’elle est taillée sur mesure pour le président de la République seulement et non pour la Nation sénégalaise. « Le Sénégal n’a pas de constitution », martèle-t-il. C’est ainsi que dans la Constitution sénégalaise du 07 janvier 2001 qu’il a commentée, Me Doudou Ndoye souhaite en conclusion du Titre XIII sur les dispositions transitoires que « maintenant que le nouveau pouvoir est installé avec sa majorité parlementaire, il va être en mesure de faire une Constitution à la seule mesure d’une Nation ».
Ferloo