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Mbagnick Diop, le patron du Mouvement des entreprises du Sénégal (Meds) tacle les pourfendeurs des Cauris d’or qu’il a initié depuis des années.
«En Afrique, au Sénégal particulièrement, les gens ont du mal à valoriser le succès. Lorsque vous avez le succès, ils vont voir dans les poubelles, les caniveaux. Ils font tout pour écorcher ton image, pour mettre du sable dans ton couscous. Mais tout cela n’est pas important. Ce qui importe dans la vie, c’est de faire les choses dans les normes, dans le respect et la vérité. C’est ça ma philosophie», répond-il dans un entretien avec l’Obs.
«On peut toujours me faire des reproches, me critiquer, mais au final, j’ai toujours raison. La preuve, beaucoup de gens qui étaient contre les Cauris et qui m’attaquaient dans la presse, sont aujourd’hui les plus prompts à m’écrire ou m’appeler au téléphone pour me dire qu’ils veulent participer à l’événement. Qu’ils veulent être nominés. Ils envoient des éléments pour dire qu’ils ont réalisé ceci ou cela. Tout cela me conforte dans ma position d’acteur du développement. Moi, je refuse qu’on me tire vers le bas. Le nivellement vers le bas, je ne l’accepte pas du tout», peste-t-il.
«En Afrique, au Sénégal particulièrement, les gens ont du mal à valoriser le succès. Lorsque vous avez le succès, ils vont voir dans les poubelles, les caniveaux. Ils font tout pour écorcher ton image, pour mettre du sable dans ton couscous. Mais tout cela n’est pas important. Ce qui importe dans la vie, c’est de faire les choses dans les normes, dans le respect et la vérité. C’est ça ma philosophie», répond-il dans un entretien avec l’Obs.
«On peut toujours me faire des reproches, me critiquer, mais au final, j’ai toujours raison. La preuve, beaucoup de gens qui étaient contre les Cauris et qui m’attaquaient dans la presse, sont aujourd’hui les plus prompts à m’écrire ou m’appeler au téléphone pour me dire qu’ils veulent participer à l’événement. Qu’ils veulent être nominés. Ils envoient des éléments pour dire qu’ils ont réalisé ceci ou cela. Tout cela me conforte dans ma position d’acteur du développement. Moi, je refuse qu’on me tire vers le bas. Le nivellement vers le bas, je ne l’accepte pas du tout», peste-t-il.