Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Marine Le Pen, présidente du Front national, a assuré lundi que Nicolas Sarkozy n'avait "pas changé" et c'est "tant mieux". Sur BFMTV et RMC, l'eurodéputée a tranché : "rien n'a changé, ni les idées, ni la manière dont il se présente, ni cette fausse ingénuité". L'ex-président "n'a pas changé, tant mieux", a-t-elle tranché. "C'est le même".
Elle "n'aime pas son immodestie, son insincérité, ses techniques de communication maintenant tellement visibles". Or les Français "ne veulent plus être dirigés par des communicants", dit-elle.
"Il parle du référendum", a observé Mme Le Pen. "C'est à hurler de rire ! Il nous a fait le coup en 2007, en 2010, en 2011, en 2012, après avoir fait voter la Constitution européenne contre l'avis des Français. Il a fait annuler celui qui était prévu en Grèce. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Nicolas Sarkozy est un adversaire du référendum".
Rappelant qu'elle avait appelé à voter blanc entre les deux tours de 2012, elle a assuré : "tous les matins, je me félicite de cette décision". "Je ne suis pas mécontente de son retour", car, a expliqué la présidente frontiste, "l'éloignement embellit".
Elle s'est insurgée contre "une caricature" du vote FN présenté "avec un certain mépris" comme émanant d'électeurs "peureux". "Il n'a rien compris. Il n'a donc rien appris. Le vote FN est un vote d'adhésion aujourd'hui".
Elle "n'aime pas son immodestie, son insincérité, ses techniques de communication maintenant tellement visibles". Or les Français "ne veulent plus être dirigés par des communicants", dit-elle.
"Il parle du référendum", a observé Mme Le Pen. "C'est à hurler de rire ! Il nous a fait le coup en 2007, en 2010, en 2011, en 2012, après avoir fait voter la Constitution européenne contre l'avis des Français. Il a fait annuler celui qui était prévu en Grèce. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Nicolas Sarkozy est un adversaire du référendum".
Rappelant qu'elle avait appelé à voter blanc entre les deux tours de 2012, elle a assuré : "tous les matins, je me félicite de cette décision". "Je ne suis pas mécontente de son retour", car, a expliqué la présidente frontiste, "l'éloignement embellit".
Elle s'est insurgée contre "une caricature" du vote FN présenté "avec un certain mépris" comme émanant d'électeurs "peureux". "Il n'a rien compris. Il n'a donc rien appris. Le vote FN est un vote d'adhésion aujourd'hui".
Faire barrage à Marine Le Pen au nom des valeurs ? "On dirait du Chirac", a ironisé l'ex-candidate à l'Elysée. "C'est une argumentation totalement vide".