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L’affaire va réveiller la polémique. Libération révèle que le marché du Building administratif Mamadou Dia a eu une rallonge de 1,150 milliard de francs CFA. Celle-ci a été opérée en pleine période électorale.
Selon la source, l’Autorité de régulation de la commande publique a été saisie, à cet effet, «par courrier en date du 29 janvier 2024», par le Secrétaire général du gouvernement d’alors, sollicitant «l’autorisation de conclure, par entente directe, le marché de maintenance du Building administratif Mamadou Dia».
Le journal rapporte que la Direction centrale des marchés publiques (DCPM), saisie auparavant, à la date du 16 décembre 2023, par lettre estampillé «confidentiel», avait déjà dit niet.
Passant outre l’avis «négatif» du gendarme des marchés publics, le gouvernement est revenu à la charge, indiquant que «pour des raisons tenant aux circonstances exceptionnelles dudit marché impliquant des motifs impérieux d’intérêt général, l’attribution de celui-ci doit être poursuivi immédiatement».
La DCMP a finalement abdiqué par décision en date du 7 février 2024.
Selon la source, l’Autorité de régulation de la commande publique a été saisie, à cet effet, «par courrier en date du 29 janvier 2024», par le Secrétaire général du gouvernement d’alors, sollicitant «l’autorisation de conclure, par entente directe, le marché de maintenance du Building administratif Mamadou Dia».
Le journal rapporte que la Direction centrale des marchés publiques (DCPM), saisie auparavant, à la date du 16 décembre 2023, par lettre estampillé «confidentiel», avait déjà dit niet.
Passant outre l’avis «négatif» du gendarme des marchés publics, le gouvernement est revenu à la charge, indiquant que «pour des raisons tenant aux circonstances exceptionnelles dudit marché impliquant des motifs impérieux d’intérêt général, l’attribution de celui-ci doit être poursuivi immédiatement».
La DCMP a finalement abdiqué par décision en date du 7 février 2024.