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SENXIBAR-Dégueulasseries dévergondées, pseudo-révélations ordurières, mensonges éhontés et autres manipulations outrancières. C’est franchement l’ordurier en campagne électorale…rase que de gens du camp du Président sortant ont eu la grandeur de la petitesse de servir aux électeurs sénégalais. Il n’est pas dit que, dans ce jeu sordide, la pêche sera fructueuse pour leurs auteurs, surtout dans un régime qui a une relation névrotique avec le vice…
A la campagne magico-mystique à laquelle se livre le candidat des Forces alliées 2012, sur fond d’une débauche immorale d’argent et de quêtes effrénées de Ndiguël (consignes de vote), se superpose, depuis quelque temps, une entreprise fétide de manipulations, de mensonges grossiers sur la sortie de Macky Sall relative à la citoyenneté des chefs religieux, et surtout, oh comble de l’ignominie, de pseudo-révélations salaces orchestrées par le clergé médiatique de la wadolâtrie. La campagne sur l’ethnicité n’ayant pas réussi à gonfler les voiles de l’adhésion populaire, parce que son vent n’a même pas la force d’un duvet, les adversaires de Macky Sall s’orientent maintenant vers des offres nauséeuses en lieu et place de celles programmatiques.
Après s’être abîmé à vouloir plonger le débat politico-électoral dans les fanges vaseuses de l’homosexualité, en ne réussissant en fait qu’à susciter une repoussante puanteur, sinon une indifférence significative des Sénégalais, voilà que l’on cherche maintenant à déterrer de prétendus dossiers sur la Lonase et La Pointe de Sangomar dont on connaît les auteurs identifiés de la gestion «gabegique». Les scandales dans la gestion de ces dossiers, comme dans d’autres encore plus sulfureux dont la comptabilité paraîtrait ici fastidieuse, avaient été révélés, il y a quelques années, par la presse. Et pourtant, aux révélations de ces scandales avait répondu en écho le silence de presbytère de ceux qui se détruisent aujourd’hui à les ressusciter. Campagne électorale, pardon de dénigrements, oblige ! Il y a bien longtemps que ces petits Goebbels à la sauvette, s’ils en avaient des preuves, auraient eu un plaisir jouissif à montrer et à démontrer la culpabilité de celui qui a empêché au Président Wade de gagner en rond au premier tour. Et comme si rien n’arrêtait la sarabande honteuse, voilà que dans les officines libérales, on se détruit à concocter des liens incestueux entre le challenger de Wade au second tour avec quelques loges maçonniques du côté des palais marbrés en Afrique centrale.
«Petits Goebbels»
Il nous est parvenu que, dans l’entourage de Macky Sall, certains révulsés par cette campagne de dénigrements contre leur candidat, détiennent des informations explosives qui, si elles étaient rendues publiques, mettraient Wade, son fils et certains de leurs amis, dans de bien sales draps. Seulement, des gens du candidat de Benno bokk yakkaar trouvent que ce jeu sordide n’en vaut pas la chandelle. Ceux-là ont fait sienne cette vérité du général De Gaulle, selon laquelle «la politique la coûteuse, la plus ruineuse, c’est d’être petit». Dans tous les cas, jamais, une campagne électorale ne s’est déroulée, dans l’histoire politique du Sénégal, sous un mode aussi pauvre, aussi dégradant que celui qui se déploie sous les yeux des Sénégalais, hébétés et révulsés par tant de convocations et d’évocations de questions dont le sordide se le dispute d’avec l’infamie. En mars 2000, dans l’entre-deux tour, le président Abdou Diouf et ses alliés dont certains se retrouvent, par ironie de l’histoire, du côté de la cognée wadiste, aujourd’hui, avaient eu l’élégance républicaine, à la hauteur des exigences démocratiques que requiert la marche de notre pays, de poursuivre une campagne électorale civilisée et bien normée dont l’issue a été saluée à travers le monde. C’est du pasteur américain Martin Luther King que l’on apprend cette grande leçon de sagesse politique : «La véritable grandeur d’un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu’il traverse une période de controverses et de défi.»
A la campagne magico-mystique à laquelle se livre le candidat des Forces alliées 2012, sur fond d’une débauche immorale d’argent et de quêtes effrénées de Ndiguël (consignes de vote), se superpose, depuis quelque temps, une entreprise fétide de manipulations, de mensonges grossiers sur la sortie de Macky Sall relative à la citoyenneté des chefs religieux, et surtout, oh comble de l’ignominie, de pseudo-révélations salaces orchestrées par le clergé médiatique de la wadolâtrie. La campagne sur l’ethnicité n’ayant pas réussi à gonfler les voiles de l’adhésion populaire, parce que son vent n’a même pas la force d’un duvet, les adversaires de Macky Sall s’orientent maintenant vers des offres nauséeuses en lieu et place de celles programmatiques.
Après s’être abîmé à vouloir plonger le débat politico-électoral dans les fanges vaseuses de l’homosexualité, en ne réussissant en fait qu’à susciter une repoussante puanteur, sinon une indifférence significative des Sénégalais, voilà que l’on cherche maintenant à déterrer de prétendus dossiers sur la Lonase et La Pointe de Sangomar dont on connaît les auteurs identifiés de la gestion «gabegique». Les scandales dans la gestion de ces dossiers, comme dans d’autres encore plus sulfureux dont la comptabilité paraîtrait ici fastidieuse, avaient été révélés, il y a quelques années, par la presse. Et pourtant, aux révélations de ces scandales avait répondu en écho le silence de presbytère de ceux qui se détruisent aujourd’hui à les ressusciter. Campagne électorale, pardon de dénigrements, oblige ! Il y a bien longtemps que ces petits Goebbels à la sauvette, s’ils en avaient des preuves, auraient eu un plaisir jouissif à montrer et à démontrer la culpabilité de celui qui a empêché au Président Wade de gagner en rond au premier tour. Et comme si rien n’arrêtait la sarabande honteuse, voilà que dans les officines libérales, on se détruit à concocter des liens incestueux entre le challenger de Wade au second tour avec quelques loges maçonniques du côté des palais marbrés en Afrique centrale.
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Il nous est parvenu que, dans l’entourage de Macky Sall, certains révulsés par cette campagne de dénigrements contre leur candidat, détiennent des informations explosives qui, si elles étaient rendues publiques, mettraient Wade, son fils et certains de leurs amis, dans de bien sales draps. Seulement, des gens du candidat de Benno bokk yakkaar trouvent que ce jeu sordide n’en vaut pas la chandelle. Ceux-là ont fait sienne cette vérité du général De Gaulle, selon laquelle «la politique la coûteuse, la plus ruineuse, c’est d’être petit». Dans tous les cas, jamais, une campagne électorale ne s’est déroulée, dans l’histoire politique du Sénégal, sous un mode aussi pauvre, aussi dégradant que celui qui se déploie sous les yeux des Sénégalais, hébétés et révulsés par tant de convocations et d’évocations de questions dont le sordide se le dispute d’avec l’infamie. En mars 2000, dans l’entre-deux tour, le président Abdou Diouf et ses alliés dont certains se retrouvent, par ironie de l’histoire, du côté de la cognée wadiste, aujourd’hui, avaient eu l’élégance républicaine, à la hauteur des exigences démocratiques que requiert la marche de notre pays, de poursuivre une campagne électorale civilisée et bien normée dont l’issue a été saluée à travers le monde. C’est du pasteur américain Martin Luther King que l’on apprend cette grande leçon de sagesse politique : «La véritable grandeur d’un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu’il traverse une période de controverses et de défi.»