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Le document, rendu public lors du congrès mondial contre le cancer qui a lieu à Paris, souligne une forte augmentation du cancer dans les pays à faibles revenus. Cela, selon le Rapport, en raison du vieillissement de la population mondiale et de la hausse des facteurs de risque.
Les différentes institutions qui étaient présentes à ce congrès mondial contre le cancer, à Paris, ont révélé que 500.000 personnes meurent chaque année du cancer en Afrique. Pénurie en matériel de radiothérapie, manque d’accès aux traitements et au dépistage, ce sont là les quelques raisons qui expliquent la situation préoccupante qui prévaut actuellement en Afrique dans le cadre des politiques nationales de lutte contre le cancer.
Pour rappel, aujourd’hui, seulement 5% des ressources sont mobilisées pour les pays en développement alors que les 95% restants le sont pour les pays industrialisés. Selon nos informations, c’est aussi une des situations qui vont peut-être poser de graves problèmes dans la prise en charge, la prévention et les traitements dans les années à venir. A moins que cela soit revu par les Responsables concernés.
Un autre problème touche de plus en plus les pays en voie développement, à savoir les modes de vie à risques. Selon un des professeurs de l’institut des stratégies contre le cancer du King’s Collège à Londres, le problème se situe aussi au niveau des pays riches qui transmettent les facteurs de risques aux pays à faibles revenus. Particulièrement en Afrique subsaharienne. C’est pourquoi pour lui il est important d’endiguer le tabagisme et la consommation de graisses saturées pour limiter la transmission du cancer.
Si dans les pays du Nord certains cancers sont liés au tabac ou à un mode vie plus sédentaire, sur le continent africain les cancers ont une origine plutôt infectieuse. Le premier cancer chez l’adulte jeune touche le foie, et le cancer du col de l’utérus reste le premier en Afrique noire. Le taux de prévalence des deux pathologies va de 30 à 40% sur l’ensemble du continent africain.
Le quatrième du genre, qui est celui du cancer du sein, augmente de façon déchaînée. Surtout dans les zones urbaines.
Ce sont là des données qui prouvent qu’en Afrique, comme ailleurs dans les autres pays du sud, les moyens sont assez limités pour lutter contre une maladie dont une mutualisation des moyens financiers et d’expériences sont indispensables pour une meilleure efficacité.
Les différentes institutions qui étaient présentes à ce congrès mondial contre le cancer, à Paris, ont révélé que 500.000 personnes meurent chaque année du cancer en Afrique. Pénurie en matériel de radiothérapie, manque d’accès aux traitements et au dépistage, ce sont là les quelques raisons qui expliquent la situation préoccupante qui prévaut actuellement en Afrique dans le cadre des politiques nationales de lutte contre le cancer.
Pour rappel, aujourd’hui, seulement 5% des ressources sont mobilisées pour les pays en développement alors que les 95% restants le sont pour les pays industrialisés. Selon nos informations, c’est aussi une des situations qui vont peut-être poser de graves problèmes dans la prise en charge, la prévention et les traitements dans les années à venir. A moins que cela soit revu par les Responsables concernés.
Un autre problème touche de plus en plus les pays en voie développement, à savoir les modes de vie à risques. Selon un des professeurs de l’institut des stratégies contre le cancer du King’s Collège à Londres, le problème se situe aussi au niveau des pays riches qui transmettent les facteurs de risques aux pays à faibles revenus. Particulièrement en Afrique subsaharienne. C’est pourquoi pour lui il est important d’endiguer le tabagisme et la consommation de graisses saturées pour limiter la transmission du cancer.
Si dans les pays du Nord certains cancers sont liés au tabac ou à un mode vie plus sédentaire, sur le continent africain les cancers ont une origine plutôt infectieuse. Le premier cancer chez l’adulte jeune touche le foie, et le cancer du col de l’utérus reste le premier en Afrique noire. Le taux de prévalence des deux pathologies va de 30 à 40% sur l’ensemble du continent africain.
Le quatrième du genre, qui est celui du cancer du sein, augmente de façon déchaînée. Surtout dans les zones urbaines.
Ce sont là des données qui prouvent qu’en Afrique, comme ailleurs dans les autres pays du sud, les moyens sont assez limités pour lutter contre une maladie dont une mutualisation des moyens financiers et d’expériences sont indispensables pour une meilleure efficacité.