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Le rapport de la Cour des comptes sur la table du PM : « Les sénégalais sauront l’ampleur des dégâts » (Sonko)
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SENEGAL-ASSAINISSEMENT-COLLECTIVITES / Le DG de la SONAGED préconise la mise en place d’unités de valorisation industrielle des déchets à Tambacounda et Kédougou
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Sonko en Mauritanie
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Communiqué du Conseil des ministres du 8 Janvier 2025
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[Récap] Ousmane Sonko et le chef de la diplomatie tchadienne sonnent la charge contre Emmanuel Macron
Répondant à une question sur son mandat que l'interviewer envisage jusqu’en 2022, soit dix ans après son élection, ce qui suppose une réélection en 2017, le chef de l'Etat de formuler des vœux : « si c’est le cas, 10 ans après ma prise de fonction, je souhaiterais laisser un pays avec des infrastructures solides pour le développement, tant au plan ferroviaire, qu’au plan aérien, routier. "Je voudrais", dit-il, «laisser à mon successeur un pays émergent, un pays dans lequel l’Etat de droit est une réalité, un pays où les inégalités sociales auront été sinon neutralisées, du moins atténuées. Cela est tout à fait possible. Je pense que le Sénégal de 2022 aura fière allure. C’est en tout cas l’image que je voudrais laisser »; a-t-il listé.
Mais en attendant, il y a du chemin. Les Sénégalais attendent et s'impatientent, souhaitant rapidement, tourner la page du "Rewmi doxul" ; ils apprécieront, d’abord en 2014, le mandat en cours de Macky Sall.
Et en 2017, ou ils applaudiront, ou ils sanctionneront.
Pour le nouveau pouvoir comme pour l'ancien régime, l'année 2012 aura été pleine d'enseignements, de leçons à retenir pour qui veut gouverner le Sénégal. Réélu, ne sera pas réélu? Qui vivra verra !