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« Si nous engageons l’épreuve de force, il est clair que les conséquences sont beaucoup plus dramatiques. Il faut dialoguer et trouver une porte de sortie qui le protège. Je suis pour le dialogue pour qu’on lui permette de partir tranquillement. Le recours à la force est une étape ultime ».
Le chef de l’Etat du Sénégal ne pense pas qu’il « soit raisonnable pour le Président Jammeh et ses alliés d’engager l’épreuve de force ».
Mais, ajoute Macky Sall, « il faut respecter aussi le Président Jammeh et lui parler. Il a reconnu sa défaite, il doit passer le témoin. Et on doit l’accompagner dans ce passage de témoins. Je suis convaincu que le dialogue permettra avant le 17 janvier de lui faire entendre raison ».
Le chef de l’Etat du Sénégal ne pense pas qu’il « soit raisonnable pour le Président Jammeh et ses alliés d’engager l’épreuve de force ».
Mais, ajoute Macky Sall, « il faut respecter aussi le Président Jammeh et lui parler. Il a reconnu sa défaite, il doit passer le témoin. Et on doit l’accompagner dans ce passage de témoins. Je suis convaincu que le dialogue permettra avant le 17 janvier de lui faire entendre raison ».