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Virulent réquisitoire du plénipotentiaire du Fsd/Bj
Et de préciser : «Dans le document qui a été donné , on nous dit que les candidats à la candidature unique doivent être issus des partis les présentatifs, qu'ils aient accumulé une certaine expérience dans la gestion des affaires publiques et des relations internationales, qu'ils aient une certaine indépendance financière pour financer la campagne électorale». De l'avis de M. Diop les deux leaders de partis qui remplissent ces critères, c'est Moustapha Niasse de l'Alliance des forces du progrès (Afp) et Ousmane Tanor Dieng du Parti socialiste (Ps).
Rejetant le critère de représentativité, il a indiqué : «Nous considérons que si nous voulons parler de représentativité, nous sommes d'accord mais faudrait que l'on sache comment y aller parce que d'une élection à une autre, la représentativité d'un parti politique peut considérablement changer. L'histoire politique du Sénégal nous a montré entre 2000 et 2007 des partis politiques sont passés de 42% à 10%. De 2007 à 2010 qui peut prouver que l'électorat de ces partis ne s'est pas effrité». À en croire ce membre du Bureau politique du Fsd/Bj, le critère de participation aux Assises nationales proposé est une volonté d'écarter certaines candidatures à la candidature unique de Bennoo Siggil Senegaal.
Pour ce qui est de l'expérience d'un candidat de Bennoo, Ibrahima Diop souligne que l'expérience dont se targuent les leaders de Bennoo n'a rien apporté au pays sinon le chaos.
Le Fsd/Bj , tout en réaffirmant son ancrage dans Bennoo, exige de la considération de la part des partis alliés et refuse d'être un parti taillable et corvéable.
Et de préciser : «Dans le document qui a été donné , on nous dit que les candidats à la candidature unique doivent être issus des partis les présentatifs, qu'ils aient accumulé une certaine expérience dans la gestion des affaires publiques et des relations internationales, qu'ils aient une certaine indépendance financière pour financer la campagne électorale». De l'avis de M. Diop les deux leaders de partis qui remplissent ces critères, c'est Moustapha Niasse de l'Alliance des forces du progrès (Afp) et Ousmane Tanor Dieng du Parti socialiste (Ps).
Rejetant le critère de représentativité, il a indiqué : «Nous considérons que si nous voulons parler de représentativité, nous sommes d'accord mais faudrait que l'on sache comment y aller parce que d'une élection à une autre, la représentativité d'un parti politique peut considérablement changer. L'histoire politique du Sénégal nous a montré entre 2000 et 2007 des partis politiques sont passés de 42% à 10%. De 2007 à 2010 qui peut prouver que l'électorat de ces partis ne s'est pas effrité». À en croire ce membre du Bureau politique du Fsd/Bj, le critère de participation aux Assises nationales proposé est une volonté d'écarter certaines candidatures à la candidature unique de Bennoo Siggil Senegaal.
Pour ce qui est de l'expérience d'un candidat de Bennoo, Ibrahima Diop souligne que l'expérience dont se targuent les leaders de Bennoo n'a rien apporté au pays sinon le chaos.
Le Fsd/Bj , tout en réaffirmant son ancrage dans Bennoo, exige de la considération de la part des partis alliés et refuse d'être un parti taillable et corvéable.