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La blessure de Lombaerts. "Je pense que nous avons commis une erreur d'appréciation. Personnellement, j'estime que nous avons pris cette décision trop vite et que nous aurions dû le sélectionner. Mais c'était notre choix, et il ne faut pas ressasser le passé". (Borkelmans)
La presse. "Les médias ont joué un rôle déterminant. Cela a commencé dès mon premier match contre les Pays-Bas en 2012. Peu avant, nous avions eu des discussions avec certaines personnes de la presse écrite. Elles nous ont clairement dit qu'elles allaient nous mener la vie dure" (Borkelmans)
Les critiques à l'égard de Wilmots. "C'est toujours facile d'accuser l'entraîneur après coup. Si vous estimez que tactiquement, il y a quelque chose qui ne va pas, alors il faut aller voir l'entraîneur et réclamer plus d'entraînements ou de séances tactiques". (Vertonghen)
Le 4-0 contre la Hongrie. "Nous aurions dû se rendre compte, sans manquer de respect à qui que ce soit, qu'il ne s'agissait 'que' de la Hongrie. Cette victoire était un piège en vue des quarts de finale". (Romelu Lukaku)
La blessure de Vertonghen. "Pour moi, l'Euro s'est arrêté là. Je supportais évidemment l'équipe, mais mentalement, le tournoi était déjà derrière moi. J'ai senti la peur s'emparer de l'équipe. Encore une défection en défense. Ailleurs, on aurait pu compenser cette perte. Cela a provoqué une peur d'échouer. Si on m'avait dit avant la campagne qu'on jouerait en quarts de finale avec Meunier, Alderweireld, Denayer et Jordan Lukaku en defénse..." (Borkelmans)
La presse. "Les médias ont joué un rôle déterminant. Cela a commencé dès mon premier match contre les Pays-Bas en 2012. Peu avant, nous avions eu des discussions avec certaines personnes de la presse écrite. Elles nous ont clairement dit qu'elles allaient nous mener la vie dure" (Borkelmans)
Les critiques à l'égard de Wilmots. "C'est toujours facile d'accuser l'entraîneur après coup. Si vous estimez que tactiquement, il y a quelque chose qui ne va pas, alors il faut aller voir l'entraîneur et réclamer plus d'entraînements ou de séances tactiques". (Vertonghen)
Le 4-0 contre la Hongrie. "Nous aurions dû se rendre compte, sans manquer de respect à qui que ce soit, qu'il ne s'agissait 'que' de la Hongrie. Cette victoire était un piège en vue des quarts de finale". (Romelu Lukaku)
La blessure de Vertonghen. "Pour moi, l'Euro s'est arrêté là. Je supportais évidemment l'équipe, mais mentalement, le tournoi était déjà derrière moi. J'ai senti la peur s'emparer de l'équipe. Encore une défection en défense. Ailleurs, on aurait pu compenser cette perte. Cela a provoqué une peur d'échouer. Si on m'avait dit avant la campagne qu'on jouerait en quarts de finale avec Meunier, Alderweireld, Denayer et Jordan Lukaku en defénse..." (Borkelmans)