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Sur les raisons de l'effondrement des maisons sur ce site, des témoins indiquent que la zone choisie pour les chantiers des logements sociaux était le lit d’un ancien marigot qui a été remblayé. Aussi, le sol est argileux, meuble et très inondable. En effet, c’est à la suite des fortes précipitations du week-end du 17 au 18 août dernier que l’eau de ruissellement a voulu reprendre son cours naturel, envahissant à cet effet, les maisons par le sous-sol.
Par ailleurs, les fondations n’avaient pas été suffisamment compactées et des bâtiments se sont affaissés. Sur les lieux, des témoins renseignent à nos confrères du « Quotidien » que les pouvoirs publics ont voulu éviter de faire de la publicité sur cette affaire et des engins ont été mobilisés pour faire effacer la catastrophe. Toutefois, même si les fondations ont été rasées et les décombres en train d’être emportés, il n’empêche que les stigmates de bâtiments effondrés restent visibles dans l’espace. Les travaux sont repris dans la discrétion et trois vigiles veillent sur les lieux et interdisent l’accès, indique-t-on.
Interpellé sur la question, le ministère des zones inondables affirme que « c’est juste trois (3) fondations que nous avons démolies ».
Par ailleurs, les fondations n’avaient pas été suffisamment compactées et des bâtiments se sont affaissés. Sur les lieux, des témoins renseignent à nos confrères du « Quotidien » que les pouvoirs publics ont voulu éviter de faire de la publicité sur cette affaire et des engins ont été mobilisés pour faire effacer la catastrophe. Toutefois, même si les fondations ont été rasées et les décombres en train d’être emportés, il n’empêche que les stigmates de bâtiments effondrés restent visibles dans l’espace. Les travaux sont repris dans la discrétion et trois vigiles veillent sur les lieux et interdisent l’accès, indique-t-on.
Interpellé sur la question, le ministère des zones inondables affirme que « c’est juste trois (3) fondations que nous avons démolies ».