Autres articles
-
Route Linguère-Matam : Cinq morts dans la collision entre un bus Dakar Dem Dikk et un « Allo Dakar »
-
Projet GTA : la révélation à plus de 480 milliards F CFA de l’ex-DG de Petrosen
-
Défilé du 4 avril : le boulevard Mamadou Dia en tenue de fête
-
Manifestations meurtrières : une audition de Adji Sarr «dépend du…»
-
Examen du projet de loi interprétative de la loi d’amnistie : Déploiement des forces de l’ordre devant l’Assemblée nationale
Mansour Diallo, Alioune Seck et Papa Doudou Tounkara peuvent afficher le sourire. Ces trois délégués du personnel devraient réintégrer la CBAO. Leur licenciement, prononcé avec la bénédiction de l’inspection régionale du travail de Dakar, a été annulé par le ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions, Yankhoba Diémé. «Dans sa décision, le ministre demande que les délégués du personnel soient réintégrés», rapporte Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce lundi 22 juillet.
Diallo, Seck et Tounkara ont été virés pour «fautes lourdes», d’après la direction de la CBAO, payant ainsi leur engagement aux côtés de leurs collègues dans leur combat pour, notamment, l’amélioration de leurs conditions de travail. Le ministre considère, d’après Les Échos, que les trois syndicalistes étaient dans leur rôle. De plus, poursuit le journal, Yankhoba Diémé laisse entendre que la sanction contre les agents concernés n’a pas été prise dans un «délai raisonnable», pointant que les faits incriminés auraient été commis le 17 octobre et le 4 décembre 2023 alors que le licenciement des délégués a été prononcé en février 2024.
Diallo, Seck et Tounkara ont été virés pour «fautes lourdes», d’après la direction de la CBAO, payant ainsi leur engagement aux côtés de leurs collègues dans leur combat pour, notamment, l’amélioration de leurs conditions de travail. Le ministre considère, d’après Les Échos, que les trois syndicalistes étaient dans leur rôle. De plus, poursuit le journal, Yankhoba Diémé laisse entendre que la sanction contre les agents concernés n’a pas été prise dans un «délai raisonnable», pointant que les faits incriminés auraient été commis le 17 octobre et le 4 décembre 2023 alors que le licenciement des délégués a été prononcé en février 2024.