Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Au départ, il s'agissait de faire respecter une zone d'exclusion aérienne décidée par l'ONU pour protéger les populations civiles libyennes, mais rapidement, l'Otan est intervenue en soutien au CNT, Conseil national de transition.
Le 19 mars, les Français sont les premiers à tirer pour contrer l'avancée des chars du colonel Kadhafi qui s'apprêtaient à entrer dans la ville rebelle de Benghazi.
Mais dès le mois d'avril, la France reconnaît avoir envoyé des conseillers militaires techniques auprès du CNT. Aidés par des forces spéciales, les rebelles libyens finiront par prendre Tripoli au mois d'août et par éliminer le colonel Kadhafi en octobre dernier.
En sept mois de bombardements, l'Otan affirme avoir mené près de 26 000 sorties aériennes, détruit 6000 cibles, 1600 bases, 1300 dépôts de munitions. La France revendique 35% des missions offensives.
L'armée libyenne perd 75% de son aviation, 60% de sa marine, et des centaines de blindés, et de 4X4.
Au 31 ocotbre 2011, l'Otan cesse toute coopération militaire avec la Libye. La coopération se fait donc à présent de façon bilatérale. La France va ainsi aider l'armée libyenne à sécuriser ses frontières, déminer ses ports, et remettre sur pied son armée de l'air.
Les Français furent les premiers à bombarder les tanks libyens, l'opéraiton fut un succès même si elle ne doit pas cacher certaines carences comme l'explique le colonel Michel Goya, directeur d'études à l'Institut d'études stratégiques de l'Ecole militaire à Paris.
RFI.FR
Le 19 mars, les Français sont les premiers à tirer pour contrer l'avancée des chars du colonel Kadhafi qui s'apprêtaient à entrer dans la ville rebelle de Benghazi.
Mais dès le mois d'avril, la France reconnaît avoir envoyé des conseillers militaires techniques auprès du CNT. Aidés par des forces spéciales, les rebelles libyens finiront par prendre Tripoli au mois d'août et par éliminer le colonel Kadhafi en octobre dernier.
En sept mois de bombardements, l'Otan affirme avoir mené près de 26 000 sorties aériennes, détruit 6000 cibles, 1600 bases, 1300 dépôts de munitions. La France revendique 35% des missions offensives.
L'armée libyenne perd 75% de son aviation, 60% de sa marine, et des centaines de blindés, et de 4X4.
Au 31 ocotbre 2011, l'Otan cesse toute coopération militaire avec la Libye. La coopération se fait donc à présent de façon bilatérale. La France va ainsi aider l'armée libyenne à sécuriser ses frontières, déminer ses ports, et remettre sur pied son armée de l'air.
Les Français furent les premiers à bombarder les tanks libyens, l'opéraiton fut un succès même si elle ne doit pas cacher certaines carences comme l'explique le colonel Michel Goya, directeur d'études à l'Institut d'études stratégiques de l'Ecole militaire à Paris.
RFI.FR