http://www.senxibar.com/Tension-a-l-hotel-King-Fahd-Palace-Voici-le-Memorandum-Du-college-des-Delegues-du-Personnel-Document-exclusif-de_a35157.html).
Malgré les nombreuses doléances des travailleurs, la situation reste inchangée. Toutes les personnalités saisies pour appeler la direction à la raison, ont fait montre de leur impuissance. Certaines que nous préférons taire leurs noms ont confié aux délégués que vous êtes au courant de la situation.
En tant que Président de tous les sénégalais, votre diligence est sollicitée pour rétablir la Justice dans cette entreprise où des centaines de chefs de familles travaillent. Ces gens souffrent le martyre. En dépit du harcèlement moral subi et l’acharnement de tous les jours venant du directeur des Ressources humaines, M. Fassar Ndour et son adjoint Lamine Ndiaye, les employés de KFP agissent pourtant en professionnel en rendant meilleure la qualité du service. Le mal-être de ces personnes pourrait être ressentie dans leur travail quotidien mais que non !
Depuis l’avènement de Mamadou Racine Sy au KFP, il ne se passe pas des mois sans que l’on ait écho des problèmes de l’hôtel. Pas plus tard que ce vendredi 22 juillet 2016, les travailleurs envoyés à la retraite forcée, en compagnie de leurs délégués ont fait le tour des médias pour crier leur ras-le-bol. Ils ont exposé leurs problèmes que vous ne semblez pas ignorer, M. le Président de la République.
Sans exagérer, il faut dire que ce qui se passe dans cet hôtel est une bombe sociale qui risque d’exploser à tout moment.
Au risque d’avoir des remords, il est temps d’agir, ne serait-ce que pour entendre leurs revendications.
Rien qu’avec la non application du décret présidentiel que vous aviez pris portant la retraite à 60 ans au lieu de 55 ans, il était de votre devoir de faire entendre raison le PDG de l’hôtel. Pourtant au moment où l’on signe des départs à 56 ans, le Directeur d’Exploitation de la boîte, Pierre Mbow a atteint la limite d’âge. C’est pourquoi la question qui mérite d’être posée est de savoir si sa main n’avait pas tremblé pas en signant les départs ?
Monsieur, le Président de la République,
Il est certes vrai que les travailleurs ont atteint le bout de la résignation car l’attente n’a que trop duré. Mais ils ne désespèrent pas car ils comptent sur votre indulgence pour être rétablis dans leur droit. Et ce ne serait que Justice rendue !
Malgré les nombreuses doléances des travailleurs, la situation reste inchangée. Toutes les personnalités saisies pour appeler la direction à la raison, ont fait montre de leur impuissance. Certaines que nous préférons taire leurs noms ont confié aux délégués que vous êtes au courant de la situation.
En tant que Président de tous les sénégalais, votre diligence est sollicitée pour rétablir la Justice dans cette entreprise où des centaines de chefs de familles travaillent. Ces gens souffrent le martyre. En dépit du harcèlement moral subi et l’acharnement de tous les jours venant du directeur des Ressources humaines, M. Fassar Ndour et son adjoint Lamine Ndiaye, les employés de KFP agissent pourtant en professionnel en rendant meilleure la qualité du service. Le mal-être de ces personnes pourrait être ressentie dans leur travail quotidien mais que non !
Depuis l’avènement de Mamadou Racine Sy au KFP, il ne se passe pas des mois sans que l’on ait écho des problèmes de l’hôtel. Pas plus tard que ce vendredi 22 juillet 2016, les travailleurs envoyés à la retraite forcée, en compagnie de leurs délégués ont fait le tour des médias pour crier leur ras-le-bol. Ils ont exposé leurs problèmes que vous ne semblez pas ignorer, M. le Président de la République.
Sans exagérer, il faut dire que ce qui se passe dans cet hôtel est une bombe sociale qui risque d’exploser à tout moment.
Au risque d’avoir des remords, il est temps d’agir, ne serait-ce que pour entendre leurs revendications.
Rien qu’avec la non application du décret présidentiel que vous aviez pris portant la retraite à 60 ans au lieu de 55 ans, il était de votre devoir de faire entendre raison le PDG de l’hôtel. Pourtant au moment où l’on signe des départs à 56 ans, le Directeur d’Exploitation de la boîte, Pierre Mbow a atteint la limite d’âge. C’est pourquoi la question qui mérite d’être posée est de savoir si sa main n’avait pas tremblé pas en signant les départs ?
Monsieur, le Président de la République,
Il est certes vrai que les travailleurs ont atteint le bout de la résignation car l’attente n’a que trop duré. Mais ils ne désespèrent pas car ils comptent sur votre indulgence pour être rétablis dans leur droit. Et ce ne serait que Justice rendue !