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Nommé récemment au poste de ministre chargé de la Bonne gouvernance, Abdou Latif Coulibaly revient sur le concept de "bonne gouvernance", la lecture qu’il en a et les ambitions qu'il se donne.
Dans un entretien à l’Obs, il explique les missions confiées à son département ministériel: « il s’agit, dit-il, de faire en sorte que les choix politiques publiques soient guidés par une démarche réelle d’efficacité et d’efficience. Autrement dit, quand une politique est élaborée, on doit en évaluer l’impact, faire une évaluation à mi-parcours et sommative ». Coulibaly est d’avis que « l’évaluation sommative permet de rectifier globalement par rapport à des politiques similaires qui doivent être menées. Cela se fera sous la conduite du ministère que j’ai l’avantage de diriger », a-t-il annoncé. « Ce ministère, ajoute-t-il, aura pour responsabilité de suivre le travail effectué par les corps de contrôle, parfois par le truchement de commandites de service ».
En somme, le département ministériel dont Abdou Latif Coulibaly a la charge, « ne fera pas de contrôle », mais pourrait « signaler des situations particulières aux corps de contrôle », a expliqué dans les colonnes de l'Observateur l’ancien journaliste devenu politique.
seneweb