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Le journal Le Quotidien ramène l’actualité politique aux ‘’calculs et coups bas’’ suscités par la convoitise du perchoir de l’Assemblée nationale, dont le mandat du président fait actuellement débat depuis cette proposition de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck consistant à abroger la +Loi Sada Ndiaye’’ de 2009 le fixant à un an renouvelable.
‘’Le fauteuil de Moustapha Niasse vacille’’, note ce journal, en évoquant la fin de son manat d’un an renouvelable à partir du 31 juillet prochain. Une situation à l’origine d’incertitudes et d’une ‘’instabilité institutionnelle’’, selon Le Quotidien.
‘’Mais il n’est pas seul à subir cette instabilité institutionnelle. Macky Sall, qui sème le doute sur sa volonté de réparer l’+injustice+ dont il a été victime lui-même, a été précédé par Youssou Daigne en 2002, mais aussi Habib Thiam et Daouda Sow sous le régime socialiste’’, ajoute le journal, qui voit dans cette répétition une ‘’hypocrisie de nos hommes politiques qui veulent le respect de la loi au gré des circonstances, à la tête du client’’.
‘’Mission accomplie pour Idrissa Seck’’, estime à propos Walfadjri, dans un jugement inspiré par une forte d’ose d’ironie. ‘’Idrissa Seck doit rire sous cape en voyant la crise au sein de la mouvance présidentielle occasionnée par sa proposition’’ consistant à porter à cinq ans le mandat du président de l’Assemblée nationale contre un an renouvelable, depuis le vote de la ‘’loi Sada Ndiaye’’ en 2009.
‘’Macky Sall (le chef de l’Etat sénégalais) et Moustapha Niasse (le président de l’Assemblée nationale) sont à couteaux tirés depuis’’ que M. Seck ‘’a émis l’idée de ramener le mandat du président de l’Assemblée nationale à 5 ans. Même sin son parti l’AFP (celui de Niasse) s’en défend’’, con state le journal.
‘’Le fauteuil de Moustapha Niasse vacille’’, note ce journal, en évoquant la fin de son manat d’un an renouvelable à partir du 31 juillet prochain. Une situation à l’origine d’incertitudes et d’une ‘’instabilité institutionnelle’’, selon Le Quotidien.
‘’Mais il n’est pas seul à subir cette instabilité institutionnelle. Macky Sall, qui sème le doute sur sa volonté de réparer l’+injustice+ dont il a été victime lui-même, a été précédé par Youssou Daigne en 2002, mais aussi Habib Thiam et Daouda Sow sous le régime socialiste’’, ajoute le journal, qui voit dans cette répétition une ‘’hypocrisie de nos hommes politiques qui veulent le respect de la loi au gré des circonstances, à la tête du client’’.
‘’Mission accomplie pour Idrissa Seck’’, estime à propos Walfadjri, dans un jugement inspiré par une forte d’ose d’ironie. ‘’Idrissa Seck doit rire sous cape en voyant la crise au sein de la mouvance présidentielle occasionnée par sa proposition’’ consistant à porter à cinq ans le mandat du président de l’Assemblée nationale contre un an renouvelable, depuis le vote de la ‘’loi Sada Ndiaye’’ en 2009.
‘’Macky Sall (le chef de l’Etat sénégalais) et Moustapha Niasse (le président de l’Assemblée nationale) sont à couteaux tirés depuis’’ que M. Seck ‘’a émis l’idée de ramener le mandat du président de l’Assemblée nationale à 5 ans. Même sin son parti l’AFP (celui de Niasse) s’en défend’’, con state le journal.