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en croire L'As, le frangin de la première Dame Marième Faye trouve surprenant qu’on veuille mettre des problèmes subjectifs au centre de cette question, réagissant ainsi aux attaques que le ministre de la Santé a fait contre le secrétaire général de la Direction général de la Protection sociale et de la Solidarité nationale, Cheikh Issa Sall, en Conseil des ministres. "Nous ne croyons pas qu’un ministre de la République (…) puisse se permettre en Conseil des ministres de se focaliser de manière totalement subjective sur un simple fonctionnaire de l’Etat, absent de surcroît de cette rencontre. Notre respect de l’Etat et de ses institutions nous dispense d’une telle inélégance, tout comme il nous interdit de nous opposer aux textes législatifs et réglementaires", tonne-t-il. Pour Mansour Faye, "rabaisser le débat à un niveau crypto personnel et vouloir impérativement amener le président de la République à arbitrer sur une question déjà réglée par un décret, c’est tout simplement déplorable dans un Etat".
leral.net
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