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"Le Sénégal a fait des pas de géants en réalisant des bénéfices estimés à 1032 milliards de frs CFA au niveau des recettes", a appris M. Ba.
Il s’exprimait en marge du séminaire international organisé par le Centre de rencontres et d’études des dirigeants des administrations fiscales (CREDAF) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Les dirigeants et représentants des administrations de 22 pays francophones vont ainsi échanger pendant 5 jours dans la capitale sénégalaise sur "les prix de transfert et l’échange de renseignements entre administrations".
"Le Sénégal se dirige vers une meilleure fiscalité en abritant des rencontres d’échange de renseignements à des fins fiscales", a poursuivi M. Bâ.
Selon lui, ces efforts du Sénégal doivent être consolidés par "la mutualisation avec d’autres pays de bonnes pratiques fiscales pouvant permettre de mieux comprendre les méthodes utilisées par les multinationales pour détourner les fiscalités en place".
Pour répondre aux défis de la fiscalité, "il est nécessaire de veiller à ce que les standards internationaux en matière de prix de transfert soient bien appliqués par nos administrations afin de permettre une allocation des profits conforme à l’activité économique génératrice de ces profits", a, en outre, indiqué Cheikh Ahmet Tidiane Ba.
Cela passe, selon lui, par "une mise à niveau de nos administrations par un renforcement de capacités en matière d’analyse fonctionnelle des activités des entités des sociétés multinationales, principalement axées sur l’analyse du risque dans les opérations de contrôle".
Le directeur général des Impôts et des Domaines a, enfin, salué la signature par le Sénégal, au début du mois du mois en cours, de la convention multilatérale de l’OCDE et l’Accord entre autorités compétentes.
Ces sont deux instruments qui assurent une bonne documentation en matière de prix de transfert à travers le mécanisme d’échange de renseignements.
Il s’exprimait en marge du séminaire international organisé par le Centre de rencontres et d’études des dirigeants des administrations fiscales (CREDAF) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Les dirigeants et représentants des administrations de 22 pays francophones vont ainsi échanger pendant 5 jours dans la capitale sénégalaise sur "les prix de transfert et l’échange de renseignements entre administrations".
"Le Sénégal se dirige vers une meilleure fiscalité en abritant des rencontres d’échange de renseignements à des fins fiscales", a poursuivi M. Bâ.
Selon lui, ces efforts du Sénégal doivent être consolidés par "la mutualisation avec d’autres pays de bonnes pratiques fiscales pouvant permettre de mieux comprendre les méthodes utilisées par les multinationales pour détourner les fiscalités en place".
Pour répondre aux défis de la fiscalité, "il est nécessaire de veiller à ce que les standards internationaux en matière de prix de transfert soient bien appliqués par nos administrations afin de permettre une allocation des profits conforme à l’activité économique génératrice de ces profits", a, en outre, indiqué Cheikh Ahmet Tidiane Ba.
Cela passe, selon lui, par "une mise à niveau de nos administrations par un renforcement de capacités en matière d’analyse fonctionnelle des activités des entités des sociétés multinationales, principalement axées sur l’analyse du risque dans les opérations de contrôle".
Le directeur général des Impôts et des Domaines a, enfin, salué la signature par le Sénégal, au début du mois du mois en cours, de la convention multilatérale de l’OCDE et l’Accord entre autorités compétentes.
Ces sont deux instruments qui assurent une bonne documentation en matière de prix de transfert à travers le mécanisme d’échange de renseignements.